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SEXE BOY DE LA MAISON DE RETRAITE. (1/6)
Datte: 25/12/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... mère aurait-elle bramé sous ma langue chaque fois que mes lèvres se soudaient à ses grandes lèvres et que je la faisais jouir en mordillant son clitoris ? Kama-Sutra, ce livre nous était inconnu mais à nous deux nous avons réussi à le reconstituer en faisant éclater nos corps toujours plus loin. Comme je l’ai dit, les années ont passé et malgré le diplôme d’expert comptable que j’ai obtenu sans jamais pratiquer m’intéressant seulement au cours de la bourse le corps de Constance s’est ridé alors que je prenais un léger embonpoint. Nous étions conscients de ces changements physiologiques mais pour ma part j’y trouvais un plaisir nouveau car ce corps ridé m’apportait toujours autant de plaisir. La veille du jour où elle est tombée malade elle criait encore son plaisir comme au plus beau jour de mon dépucelage. Et puis un matin elle a commencé à avoir une mauvaise toux que le médecin que j’avais appelé à eux des difficultés à enrailler et a fini par l’hospitaliser. Dans le service qui s’occupait d’elle les infirmières étaient des anges pour elle mais j’ai eu droit à leur compassion quand tout au long de ses derniers instants elle me parlait de ma mère. J’ai préféré leur laisser croire, plus soucieuse de l’issue de sa vie que de l’instant présent où elle m’était enlevée. J’étais seul au funérarium car ni elle ni moi n’avions gardé des liens avec nos familles. La dégradation de mes derniers avoirs m’a contraint à déménager dans une petite maison de province près ...
... d’Auxerre et à chercher du travail dans le journal local. La maison avec son joli jardin je l’ai rapidement trouvée après avoir vendu mon appartement parisien mais qui voudrait engager un expert-comptable sans expérience et sans pratique surtout avec l’informatique entrée dans la vie de tous les jours. J’ai bien essayé d’en acheter un mais à part ma boîte Mail où personne n’écrivait j’ai vite arrêté de m’en servir. Pendant les quelques mois qui ont suivi tous ces bouleversements ma seule passion a été de m’occuper de mon jardin et surtout de mes fleurs sous lesquelles j’ai enterré l’urne de Constance la gardant ainsi à mes côtés. J’ai envoyé à l’administration la lettre précisant que j’ai étalé ses cendres dans le jardin des souvenirs de ma nouvelle commune et aucune question ne m’a été posée. Ce matin je profite des premiers rayons de soleil du joli mois de mai pour biner le carré où elle repose quand je suis interpellé. • Bonjour monsieur, que vous avez un joli jardin, je passe tous les jours devant lors de ma promenade habitant la maison de retraite voisine et chaque fois je rêve à celui que j’avais du temps de ma vie avec Arthur et qui me manque mes enfants m’ayant placé dans cette maison même si elle est agréable. Permettez-moi de m’arrêter quelques instants pour l’admirer comme je le fais tous les jours ? • Entrez madame, je vais avoir le plaisir de vous offrir un café ou un thé, Constance ma compagne que j’ai eu le malheur de perdre il y a quelques mois en raffolait…