Vacance chez mon oncle. Version intégrale !
Datte: 26/12/2020,
Catégories:
Hardcore,
Partouze / Groupe
BDSM / Fétichisme
... pas !— Toi non plus ! Je sais que tu te tapes les deux. »Arthur eut l’air gêné par cette découverte.« Je savais qu’elle avait poussé trop loin hier soir… James, je sais qu’elle te plait, mais elle me tourne autour depuis longtemps. Au bout d’un moment… Tu comprends ? »Je comprenais, mais l’image d’eux ensemble ne me plaisait pas du tout.« Hier soir, repris-je, tu as couché avec Maria ? Est-ce qu’elle t’a parlé de ton histoire avec sa fille ?— Oui pour les deux questions.— Et ça ne l’a pas dérangé ?— Maria travaille pour moi, elle s’occupe de la maison et de temps à autre on baise ensemble, c’est que du sexe, elle n’a pas à se justifier et moi non plus. Je ne lui ai rien dit sur son comportement avec toi, elle fait de même avec Jessica. Tu vois, c’est un équilibre ! »Chacun faisait ce qu’il voulait de son côté en dehors de leur liaison. Je devais trouver un moyen de créer cet équilibre.Arthur partit travailler en début d’après-midi, il était prévu que Maria vienne faire le ménage, je l’attendais avec impatience.Elle ouvrit la porte à quatorze heures, j’étais assis dans le salon. Je la vis déposer une boite sur la table de la cuisine.« Bonjour, Maria. »Elle me jeta un regard noir en s’approchant de moi. Elle m’agrippa par le col de mon t-shirt et fourra sa langue dans ma bouche.« Tu as désobéi aux règles.— Je sais. »Elle me gifla violemment.« Tu ne t’en excuses même pas ?— Non. »Sa main droite se leva de nouveau, mais cette fois-ci je l’en empêchai. J’attrapai sa main gauche ...
... et la fis reculer contre le mur, cette fois ce fut moi qui l’embrassai brutalement.« J’ai baisé ta fille et tu as baisé mon oncle, on est quitte. »Elle ne se débattait pas, j’en fus surpris. Elle me rendit mon baiser, me mordilla la langue, les lèvres.« Tu crois pouvoir t’en sortir comme ça ? demanda-t-elle.— Pourquoi pas ? J’aime Jessica, je veux l’aimer et la baiser comme je l’entends. Je veux qu’elle m’appartienne, de la même manière que je t’appartiens. »Je la libérai de mon emprise et reculai de quelques pas. Elle resta appuyée contre le mur, son rouge à lèvres éparpillé sur le visage. Je bandais sous mon jean, je ne pouvais pas le cacher. Maria m’excitait terriblement, je ne voulais pas perdre ça, pas même pour sa fille.« À genoux ! »J’obéis aussitôt. Elle retourna devant la table et ouvrit la boite, je l’entendis fouiller à l’intérieur. Elle revint devant moi.« Lève la tête. »Je la regardai. Je lus l’excitation dans son regard. Une première gifle arriva, aussitôt suivie d’une seconde. Mes joues étaient en feu, je ne disais rien. Elle recommença de nouveau.« Tu veux toujours désobéir ?— Oui, maîtresse… »Je m’attendais à une nouvelle gifle au lieu de ça elle s’agenouilla et colla son front contre le mien.« Ça ne peut pas marcher comme ça… Soit tu es à moi, soit à une autre.— Vous faites bien la même chose avec mon oncle. »Nous restâmes ainsi quelques secondes. Puis elle m’ordonna de me relever et de me déshabiller. Je m’exécutai aussitôt. Une fois nu, elle vint installer ...