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L'épouse, l'amant, l'époux ! 5
Datte: 22/10/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme
À l’extérieur la nuit recouvrait la ville lorsque l’épouse d’un pas sûr pénétra dans le bar. Le bruit de ses talons aiguilles se noya dans le fond sonore des conversations, des effluves du tabac en feu, des molécules d’alcools, des bleuâtres douces lueurs du lieu. Une demi-douzaine d’homme occupait le comptoir ; une autre causait assis à des tables ; l’endroit n’épousait pas la solitaire en fourrure haute sur talons. « Mon vagin me chatouille… sa bite doit être grosse lui… peut-être pas… et lui-là… un beau corps mais une sale gueule !… ha lui là-bas au comptoir ! Faut voir ça de près… » Elle se rapprocha de lui : la cinquantaine, blanc, cheveux grisonnants, légèrement à l’écart des autres au comptoir. Soudain comme assaillit par un ours il se retourna pour sourire à celle devant lui : quarantenaire de type caucasienne à la crinière très noire, close dans une fourrure grise, aussi agréable du corps que du visage. Visuellement il appréciait tout en elle, avec une préférence pour sa poitrine volumineuse. -Je vous offre à boire ? -Non merci. C’est pas ça que j’attends de vous. Qu’attendait-elle de lui ? Pourquoi le fixait-elle ? Il ouvrait la bouche lorsqu’à travers son jean la main de l’étrangère soudainement tâta son pénis. « Suivez-moi, murmura-t-elle dans son oreille, si vous osez !» Elle s’éloigna de lui. Il la vit disparaître derrière la porte des aises pour femmes sous les regards caressants des autres types du bar. À l’idée que l’un d’eux pouvait le devancer il avala ...
... d’une traite son verre qu’il claqua contre le comptoir puis se leva ensuite disparut comme elle derrière la porte des sanitaires. -Désolé si vous attendez que je vous paye… -Pourquoi ? -… j’avais pas prévu d’aller aux putes aujourd’hui. -J’suis pas une pute. -Qu’êtes vous alors ? -Une femme qui jouit. Debout contre le mur ils s’enivraient réciproquement l’un de l’autre en s’embrassant. « J’ai pas de culotte…. Tu peux vérifier !» Elle attrapa sa main qu’elle déposa au creux de ses cuisses. Effectivement elle ne portait pas de sous-vêtement. Sa fleur brulait. Soudain les yeux de l’homme s’injectèrent de sperme ! Il l’attrapa par les épaules puis la plaqua ventre contre le mur ensuite d’une main il saisit son pénis prêt à la fendre ! « Pas ici chaud lapin ». Elle avait parlé calmement. C’était dans la même mesure retournée. Ça le déconcertait. -On va baiser chez moi. -Chez toi ? -Oui. -Mais… -Soit tu viens ou soit tu ne viens pas… -Ah bon ? -… si tu ne viens pas j’en ramène un autre. -Sérieux ? -Oui. Cela faisait une fraction de seconde qu’ils se trouvaient assis dans la confortable berline de la dame dont l’intérieur en cuir noir semblait tout juste sortie de l’usine. Une agréable émanation synthétique flottait au milieu des cinq sièges. Elle mettait de bonne humeur le nouveau couple. -Faut que je vous dise… -Oui. -Vous devez mettre ce bandeau pour garder mon secret. -Quel secret ? -Ça n’est plus un secret si je vous le dit. Il respira bruyamment puis scruta du regard le bandeau ...