Sexe enceinte
Datte: 27/12/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Hardcore,
Inceste / Tabou
Je devais reconnaître que, ces derniers temps, j’avais mué en une espèce d’a****l insatiable et obsédé par le sexe depuis que j'étais enceinte de ma deuxième fille.Même si le sexe était le moteur de notre couple, le fait d'être enceinte décuplait mes envies sexuelles. Nous étions unis et complices. Lorsque je suis tombée enceinte de notre première fille, nous étions ravis. Notre sexualité continuait comme de normale.A ma deuxième grossesse, ce fût différent. Vers le troisième mois, mes hormones féminines, je les ai bien senties. Sans crier gare, un désir fou s’est emparé de moi. Pire qu'en temps normal, je ne pensais plus qu’à ça. Je sentais de puissantes pulsions sexuelles bouillonner en moi et me hanter toute la journée. Je tentais d’apaiser l’incendie avec Alain que j'épuisais littéralement. Lui qui adorait le sexe, n'en pouvait plus. J'étais devenue insatiable. Je voulais du sexe, du hard, voir de la v******e.Je ne me reconnaissais pas. Je faisais des rêves érotiques que même je suis certaine les pires site porno auraient été choqués. Et je ne parle pas des images torrides qui s’invitaient en permanence dans mon esprit. Je me surprenais aussi à imaginer tout un tas de trucs cochons avec les mecs que je croisais. Un soir où on était au resto, en regardant mon homme dans les yeux, sous la table, je frottais mon pied sur la bosse durcit de son sexe. Ça l’amusait et l’excitait de me voir aussi salope. D’un coup, on s’est levés, on a foncé dans les toilettes de l'établissement ...
... et comme des animaux, il m'a saillie avec une v******e déroutante en me tirant par les cheveux. J'ai eu un orgasme que les clients ont du entendre et il c'est lâché rapidement en moi. Quand nous sommes revenus dans la salle du restaurant, j'avais la sensation que les clients nous regardaient bizarrement. Mais ce n’était pas le moment de psychoter. Lors d'une visite chez mon gynéco, je lui parlais de mon problème.« Faite vous plaisir. Il n'y a aucune contre-indication dans votre cas. Au contraire, c’est même sain. Si vous prenez du plaisir, votre bébé aussi. » M’affirmât mon gynéco.Dans mon délire sexuel, je lui dis :« J'ai envie que vous me sautiez ! »D'abord surpris, il affichât un large sourire et m'accordât cette faveur sur la table d'examen.Je me sentais épanouie, heureuse de cette folie érotique qui s’offrait à moi. Mon ventre avait beau s’arrondir, ça ne faisait qu'augmenter mes désirs. Il fallait juste adapter les positions. Le soir, dés qu'Alain rentrait, je lui sautais dessus pour son plus grand plaisir. Je ne lui refusais rien, encore moins que d'habitude. Même s'il adorait mon comportement, Alain n'en pouvait plus. Un homme est malheureusement épuisable contrairement à nous les femmes. Il m’expliquât :« Tu m'épuise chérie. Je n'en peux plus ! Baises avec d'autres car là je suis sec ! Je ne suis pas une machine, nom de Dieu ! Mais, oui, je te désire toujours et je préfère que tu te fasse baiser par d'autres pour te soulager.»C'est vrai que j'étais devenue une vraie ...