1. Diagnostic et début de traitement - 01


    Datte: 28/12/2020, Catégories: fh, 2couples, hplusag, profélève, fsoumise, hdomine, Oral fgode, fdanus, fsodo, init, sm,

    ... réceptacle. Je le garde, le concentre, attend que toute la semence se rassemble. J’attends un ordre, une demande, un souhait. Rien. Il jouit, c’est tout. Mais moi je veux plus. Le surprendre. Lui faire comprendre que je ne mérite pas d’être abandonnée, négligée, ignorée. Je laisse son sperme s’échapper de mes lèvres en longs filets gluants qui glissent sur sa hampe encore raide. La queue encore dressée, chaque goutte, chaque coulure est récupérée par ma langue, poussée au fond de mon palais et avalée dans ce mouvement de la glotte qui séduit tant les connaisseurs. — Bien. Même si Pierre ne dit rien, je sais qu’il a apprécié. Ce sont des sensations que même un homme expérimenté ne peut pas cacher. —ooOoo— Le lendemain, samedi, on sonne à la porte. Un traiteur livre des plats. — J’attends des amis ce soir, des amis de longue date, des amis intimes. Tu dois les écouter et obéir comme à moi-même. Choisis. Il me présente un coffret où sont alignées des pierres de couleurs différentes. La rouge ; j’adore la couleur rouge. Je la montre du doigt. — Excellent choix. C’est le plus gros. Écarte les jambes et penche-toi. C’est froid. Il étale un liquide huileux sur mes fesses. Un objet frotte dans ma raie, titille mon clito, pousse dans mon vagin, ressort, remonte, pousse contre mon anus, insiste, insiste, force le passage, m’écarte, me déchire, disparaît. — Parfait. Redresse-toi. Je sens une gêne, un gonflement. L’objet est dans mon cul. Je sens sa présence, bien sûr, mais il ne tombe ...
    ... pas alors que je suis debout. — Regarde. Pierre a placé un miroir entre mes cuisses. La pierre rouge, écarlate maintenant dans l’ombre de mon intimité, bouche la vue de mon anus. — Rosebud. C’est un joli nom, tu ne trouves pas ? Je sais maintenant que c’est une question qui ne demande pas de réponse, sauf si le fouet me manque. Vingt heures. La table est préparée, les bouteilles débouchées. J’attends dans mon costume fraîchement repassé, le bijou dans les fesses et un magnifique collier autour du cou. On sonne. — Reste là. Je vais ouvrir. Un bruit de voix, des bises, des pas dans l’escalier : ils arrivent. Un homme et une femme. Quarante, cinquante ans. Élégants, en parfait accord avec mon maître. La femme porte une robe noire, discrète, sans ostentation. À ma vue, silhouette immobile, ils réagissent. La femme parle. — Pierre. Enfin. Nous n’espérions plus. Charles et moi étions très inquiets depuis quelques mois. Oh, je suis si heureuse. Et elle l’embrasse. Elle l’interroge. — Depuis combien de temps ?— Quelques jours seulement.— Fantastique. Je peux ? Faisant signe dans ma direction.— Bien sûr. Vous êtes les premiers. Elle s’approche. Je suis une chose dont elle fait le tour. — Elle s’appelle ? Pierre répond. — Muriel. La femme jette un regard à son mari. — Vraiment ? Muriel ! Je comprendrai plus tard que la femme de Pierre s’appelait aussi Muriel. Puis elle se tourne vers moi. — Tu as de la chance d’avoir Pierre comme maître. Il m’a tout appris. C’est mon chéri qui le lui ...
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