Jef fait du stop (1)
Datte: 23/10/2017,
Catégories:
Erotique,
... allait lui donner. Pour elle, le gamin allait jouir en deux minutes, surexcité par cette nouvelle façon de faire l’amour. Or, il n’en était rien. Bien au contraire ! Un piston animé par une machine à vapeur n’aurait pas fait mieux ! Jef, déchaîné, défonçait littéralement le cul d’Alice qui faisait des bonds en avant à chaque fois qu’il heurtait de son ventre son derrière avec un claquement sec. En peu de temps, son visage touchait le bois du lit et c’est en s’arc-boutant dessus qu’elle se préservait de se faire des bosses à répétition. Elle aurait voulu lui dire quelque chose, mais elle ne parvenait qu’à pousser un cri aigu à chaque fois qu’il heurtait de fonds de ses entrailles jusqu’à ce qu’il ne devienne plus qu’une modulation continue accompagnant les craquements du sommier et les claquements des corps se percutant sauvagement. Jef sentit monter son orgasme et se retira rapidement. La bite à la main, il guida les jets de sa semence sur le dos d’Alice qui continuait sa litanie bien qu’il ne soit plus en elle. Des reins jusqu’à dans ses cheveux, le sperme traça sur sa peau claire des serpents brillants, des taches reflétant les dernières lueurs du soleil couchant. Jef, essoufflé par cette fougueuse chevauchée, se laissa retomber sur ses talons. Son sexe, tout juste apaisé, laissait s’échapper quelques dernières gouttes translucides sur ses cuisses jointes. — Putain ! Ça, c’est de la ...
... baise où alors, je n’ai rien compris ! Je ne m’étais jamais éclaté autant ! Je suis en sueur ! Et toi, ma belle, ça va ? Alice se laissa tomber sur le côté, les cheveux en bataille dans le visage, les yeux cernés, maculés de son maquillage. Elle donnait l’impression d’avoir été déterrée ou encore, d’être passée sous le train. — Mon salaud ! Qu’est-ce que tu m’as mis ! Je m’étais déjà fait enculer, mais jamais comme ça ! Tu es une vraie machine, un robot ! J’en ai pleuré tellement tu m’as fait jouir ! Tu m’as complètement vidée ! Il faut que je dorme ! Sans rien dire d’autre, sans faire un mouvement de plus, la jeune femme a fermé les yeux. Trois minutes plus tard, elle dormait à poings fermés. Jef jeta un regard circulaire et avisa une porte qu’il n’avait pas encore remarquée. Elle donnait, comme il l’avait supposé, sur un petit cabinet de toilette équipé de la façon la plus moderne. Une douche, froide, le ragaillardit. Il lui fallait bien ça pour compenser la fatigue de ces dernières heures. Tiens, au fait, il est quelle heure ? Dix-huit heures ! Comme le temps passe ! Heureusement que personne ne m’attend ! C’était une habitude qu’il avait prise. Ne jamais dire ni quand, ni à quelle heure il arrivait ! Ainsi, personne ne se faisait de souci ! Il ne lui restait plus qu’une seule chose à faire. S’allonger à côté d’elle et faire une petite sieste ! À suivre... si vous le voulez bien !