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l'inconnu du Train (1)
Datte: 28/12/2020, Catégories: Gay
... Personne ne m’a jamais sucé comme lui. Mon dard est tout au fond de sa gorge et quand il remonte, ses lèvres le serrent au maximum. De ses doigts, il me caresse les bourses et la base du pénis. J’adore sa façon de faire. Il sait parfaitement me donner du plaisir en temporisant pour que ça ne vienne pas trop vite ! Je sais déjà qu’il va me faire monter au plafond. Plus que quelques secondes à attendre. L’orgasme est si soudain et si intense que je mets du temps à reprendre mes esprits. Je voudrais rester là indéfiniment à profiter de ce moment mais Philippe ne m’en laisse pas le temps. Il veut lui aussi prendre son pied et il ne peut pas attendre. Je pense qu’il veut que je lui taille une pipe mais apparemment il a autre chose en tête. Il m’allonge sur la banquette, le cul à l’air. Je ne proteste pas. Philippe baisse alors son pantalon : j’aperçois son phallus très long et très raide. Puis il écarte doucement mes fesses avec ses mains et crache un peu de salive sur mon trou de balle. Le train entre dans un tunnel tandis son engin s’enfonce dans mon cul ! Je me laisse faire, je décontracte les muscles de mon sphincter. Sans prévenir, Philippe accélère le mouvement, et son dard rentre plus profondément encore. Il va et il vient entre mes ...
... reins, comme disait Gainsbourg. Philippe me demande si je veux changer de position : je me lève et je reste debout dans le couloir en prenant appui sur les sièges devant moi tandis qu’il se repositionne. Il est plus à l’aise pour enfoncer son dard bien profondément et me donner encore plus de plaisir. Il reprend le va-et-vient puis il accélère encore et encore. Cela semble durer une éternité au cours de laquelle le plaisir ne s’éteint pas. Il a l’air proche de l’orgasme mais il ralentit un peu son mouvement, puis il se retire brusquement. Je sens juste son liquide brûlant se répandre sur mon corps quand il jouit. Au même moment, le haut-parleur annonce le prochain arrêt. Philippe se rhabille précipitamment et descend du wagon ; lorsqu’il se retourne pour me faire un signe de la main, je lui fais un geste d’adieu. Je reste assis sur mon siège en essayant de me remémorer tous ces bons moments. D’abord une divine gâterie, puis une prodigieuse sodomie ! En sortant de ma rêverie, je n’ai qu’une idée en tête : recontacter Philippe, mais comment faire ! Je finis par me rhabiller et c’est en ramassant mon caleçon que j’aperçois une carte de visite tombée sur le sol. C’est bien celle de Philippe et j’espère de tout mon cœur qu’on pourra se revoir !