1. Sissy conte de fée (part 1)


    Datte: 23/10/2017, Catégories: Anal Gay Transexuels

    ... ses yeux brillaient d’intelligence. Sa chevelure dorée cascadait sur ses épaules. Elle était belle, elle était intelligente, elle était sûre d’elle, elle était fine politique et bonne diplomate. Elle aurait fait une si grande souveraine ! Comme si elle devinait ses pensées, elle parla, son regard rivé dans le sien.– Il n’y a vraiment aucun moyen que ce ne soit pas mon frère qui hérite du trône ?– Hélas, votre Altesse, hélas. Aucun moyen légal, je le crains. C’est un homme, et le premier né. Seule sa mort, ou bien son incapacité au combat, l’empêcherait de régner. Hors, il se débrouille bien tant à la lance qu’à l’épée… hélas pour le royaume.– Sa mort… dit-elle rêveusement…– Ce ne serait pas une bonne idée votre altesse. Une mort suspecte enlèverait tous vos soutiens à la cour, et l’on risquerait de se retrouver avec une guerre de succession sur les bras, qui déchirerait le royaume… Vous savez que je pense que vous feriez une bien meilleure souveraine, hélas, nous ne pouvons agir contre la morale et contre le royaume… nous devrons le conseiller le mieux possible… espérons qu’il nous écoute et…La porte de la salle du trône s’ouvrit soudainement avec fracas.– Vous ne parlez pas de moi, j’espère ? Père est-il cané ou pas encore ?Le jeune homme qui venait de parler s’avança vers le Grand chancelier et la princesse, le médecin royal préférant s’esquiver en douce. Grand, le teint clair, les cheveux blond lisse et liés en queue de cheval derrière la tête, le prince avait belle ...
    ... allure. Même si dans ses yeux bleus clairs ne brillait pas l’intelligence qui se sentait dans le regard de sa sœur, il était beau, svelte. Un sourire cynique marquait son visage, tandis qu’il portait le cadavre d’un chevreuil sur les épaules. Il était habillé de pantalon et botte de cuir, une broigne de cuire avec des plaques de métal, et des gants de cuir.– Ma sœur, tu es plus désirable de jour en jour ! Toi qui tient tant à ce trône, je me demande si je ne t’épouserais pas pour que tu t’y rapproche un peu !Devant son air dégouté, il rit de bon cœur, lâchant le cadavre du chevreuil à ses pieds.– Y’aura de la viande fraîche au festin de ce soir !– Un festin ? Mais… avec père aux portes de la mort, on ne va pas festoyer ???– Oh si, on va ! Laissons les morts – ou les presque morts – aux morts, et festoyons tant que nous sommes vivants ! En plus, cela nous mettra dans l’ambiance des fêtes de mon couronnement qui ne devront plus tarder…Et il reparti d’un bon éclat de rire… Le sang de l’a****l commençait à tâcher le tapis rouge qui menait au trône royal. Une servant le remarqua, et vint silencieusement s’agenouiller, écartant un peu le chevreuil, et commença à frotter le tapis, avant que la tâche ne l’imprègne… le prince la regarda avec gourmandise…– Et bien, l’est pas vilaine celle-ci… est-ce que je la connais déjà ?Il souleva la robe de la servante, qui continuait sa tâche en tremblant, n’osant pas contredire le prince. Il souleva encore, apercevant la blanche croupe de la servante…– ...
«1234...11»