Fou amoureux ma soeur et moi (1)
Datte: 30/12/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
... elle après ça. Mais on se voyait tout le temps. Des fois elle passait chez moi avec de petits plats. J’avais un appartement d’étudiant, c’est-à-dire un quatre mètres carré. On ne se gênait pas d’être ensemble partout, même à l’université on s’aimait. Ç’a été ainsi pendant plus d’une année. Et puis un jour, on a passé toute une journée sans se contacter. Elle ne répondait pas à mes textos et mes appels. Ç’a duré pendant les trois mois de congé. Et quand on a repris, tout le premier mois je ne l’ai pas vu en classe. Elle est arrivée après. C’est à peine si on se saluait. Elle me fuyait du regard. Elle m’évitait. Elle était silencieuse avec tout le monde. Elle me rendait fou. Je n’en pouvais plus... Alors un jour, un après - midi, j’étais tellement en manque et je me sentais tellement mal que je lui ai fait appel, évoquant un problème de santé dans un texto avant. Elle s’est dépêchée d’arriver. Comprenant mon manège, elle a menacé de rentrer. Je l’ai supplié de rester, lui disant que j’avais besoin de compagnie. — Je te donne une heure... alors tu veux parler de quoi ? Elle s’était assise de profil sur le lit, une jambe pliée et me regardant à peine. En causant, je me suis rapproché d’elle par le dos et l’ai prise dans mes bras, en faisant passer mes mains en dessous de ses bras. J’avais maintenant les doigts croisés sur son ventre. Elle a penché sa tête en arrière, presque sur mon épaule, ses yeux étaient fermés. Elle m’a susurré un: veqvzk — Où est-ce que tu veux en venir ? — ...
... jusqu’où tu veux que j’arrive ? — je te connais trop pour savoir que tu ne feras rien (... petit sourire...) Je bandais très fort et je n’hésitais pas à le lui faire ressentir en me pressant contre son dos. — Il faut que je parte choux... Je l’avais serré fort contre moi. Puis l’allongeant sur le lit, je me suis mis sur elle, pesant de tout mon poids, de peur qu’elle ne m’échappe et ne s’en aille. On s’est regardés pendant quelques secondes, qui paraissaient être une éternité. Je pouvais sentir sa peur, j’essayais de cacher ma gêne. Puis je l’ai embrassé sur le coin de la bouche. Elle n’a pas réagi. J’ai à peine effleuré ses lèvres que j’ai remarqué la larme coulant de son œil gauche. J’ai pris peur. Je lui dis, en me retractant... — Dis quelque chose ! Fais n’importe quel signe pour que j’arrête. S’il te plaît. Je veux pas te perdre. Je veux qu’on reste amis si tu veux. Je ne te ferai plus d’avance, je te le promets. Je me suis retiré, elle s’est assise la tête baissée en me donnant le dos, ses mains posées délicatement sur le bord du lit. Elle semblait pleurer. Je ne savais pas quoi dire. J’ai dit: — pardonne-moi Céline. Je m’imaginais des choses. Je t’aime trop. Ton amitié me suffit. Je sais que j’ai déconné comme tous les hommes. Mais je ne suis pas un monstre, je peux changer. Ne t’éloigne pas de moi. Je t’en prie. Elle était toujours immobile. Et puis elle a porté sa main à sa bouche, comme pour s’empêcher d’éclater en sanglots je l’ai aussitôt prise dans mes bras en la ...