1. Des camarades de classe (3)


    Datte: 30/12/2020, Catégories: Gay

    ... tu pourrais me mettre un objet dans le cul et voir combien de temps j’arrive à le garder. Ce genre de défi. ─ Je vais y réfléchir. Si ça te fait plaisir, pourquoi pas ? La verge de Philippe avait bien redressé la tête sous l’effet de la main de Cyrille et de la discussion qui lui ouvrait des perspectives amusantes et intéressantes. Il restait assis, le pieu bien dressé ; Cyrille vint s’y empaler allègrement. Il maîtrisait ainsi la vitesse et la profondeur de la sodomie. Et il s’en donnait à cœur joie, le bougre ! A force de se faire enfiler, son cul avait bien pris la mesure du chibre de son ami et le membre coulissait sans entrave. Sans déculer, Cyrille se retourna pour faire face à Philippe. Il voulait voir la jouissance sur son visage. Il ne pouvait que la voir ; il était aux anges. Quand il eut bien contemplé le visage expressif de son compagnon, il se plia en avant et ils se roulèrent une longue pelle. ─ J’allais oublier de te dire un truc… ─ Ce n’est pas une mauvaise nouvelle au moins ? ─ Non, au contraire. Ma sœur à trouvé un job pour cet été ; du coup, elle ne viendra pas avec nous en vacances. Mes parents m’ont proposé de t’emmener, si tu le souhaites. ─ Et comment que je le souhaite ! Cyrille sentit ses joues s’empourprer dans un reste de timidité mal placée. Il n’avait aucune raison de rougir, si ce n’est pour exprimer son bonheur. Il était heureux de la tournure des choses. Il se sentait sur un petit nuage. ─ A vrai dire, je pense qu’ils l’auraient proposé aussi, ...
    ... quand bien même elle serait venue. Il y a suffisamment de chambres. ─ Il faudra tout de même que j’en parle à mes parents, mais ça ne devrait pas poser de problème. Et c’est où ? ─ En Lozère. C’est un tout petit village. En fait non, c’est seulement un hameau, perdu dans des collines recouvertes de forêts. On s’y ennuie assez vite en temps normal, mais si tu viens ça change tout. On trouvera forcément l’occasion de s’envoyer en l’air… Subitement, ils souhaitèrent tous deux accélérer le temps. C’était le printemps ; les vacances de Pâques allaient bientôt arriver. Ils n’avaient aucune idée de la manière dont ils pourraient se voir durant ces deux semaines, mais ils se projetaient déjà plus loin. Ils ne devaient cependant pas montrer outrancièrement leur enthousiasme afin de ne pas piquer la curiosité des parents. ─ Bourre-moi donc le cul encore une fois pour fêter ça, proposa Cyrille. ─ Laisse-moi souffler un peu. Tu ne veux plus m’enculer, toi ? ─ Je préfère te sentir en moi ; tu me remplis bien avec ton gourdin. Et quand tu jouis dans mon cul, que je sens tes spasmes, c’est terrible ! ─ Tu ne serais pas en train de tomber amoureux, toi ? ─ Peut-être bien. Philippe rigola. Pas pour se moquer de Cyrille, mais plutôt pour éviter qu’il ne lui pose la même question et ne pas avoir à avouer que c’était surtout le sexe qui l’intéressait. Il découvrait sa sexualité sans se soucier encore de sentiments. Et il appréciait d’avoir une petite femelle à sa disposition. Cyrille se glissa ...