1. J'ai pris la place de son mec (1)


    Datte: 30/12/2020, Catégories: Lesbienne

    ... prononcer son prénom ou quand elle lui rend visite, je ressens un pincement au cœur que je ne suis pas capable d’identifier. Après quelques semaines, progressivement, je réalise que je suis en train de vivre la plus incroyable, la plus merveilleuse, la plus folle des relations sexuelles de toute ma vie. Je n’en suis pas encore à réaliser que tout cela est l’expression d’une affection plus profonde, mais la partie lucide de mon cerveau commence à échafauder des stratégies pour que ce qui se passe entre Manon et moi ne s’arrête jamais… Un jour, je ne sais pas trop pourquoi, j’accompagne ma princesse lors de sa visite à l’hôpital, pour aller voir Christian. D’habitude je n’y vais pas mais là, quelque chose me tord les boyaux quand je la vois s’en aller avec la petite jupe plissée que je lui ai offerte et je propose de l’accompagner. Je me mord la lèvre pour ne pas hurler lorsque je vois Manon parler avec tendresse au corps immobile de son mec, lui murmurer des mots doux, lui raconter ses journées - en omettant au passage de mentionner que la plupart de ses journées sont passées à baiser avec moi… Enfin je comprends ce qui m’anime: c’est de la jalousie, et si je suis jalouse, ça signifie aussi que je suis… "Tu es sûre que tu n’oublies pas de mentionner quelque chose, ma princesse?" lui dis-je. "Quelque chose de significatif qui est arrivé dans ta vie récemment?" Je vois ses yeux qui s’embuent. Avant qu’elle puisse dire quelque chose comme "Je ne vois pas de quoi tu veux parler", ...
    ... je glisse ma main sous sa jupe et je me met à lui caresser les fesses: "Tu n’as rien de spécial à raconter à Christian?" Surprise, elle me regarde l’air perdu et se met à balbutier: "Non, non… Il ne faut pas… Pas ici…" Mais il est trop tard. J’ai l’estomac noué, mais c’est décidé, je ne supporterai plus cette hypocrisie une minute de plus. Mes doigts viennent s’insérer entre ses deux cuisses serrées, tout contre le ruban de tissu de son string, ce qui provoque un cri aigu de la part de Manon. "Arrête, tu es folle" me dit-elle. D’une main autoritaire, j’attrape ses longs cheveux et je la force à se pencher en avant. Elle est appuyée contre les jambes de Christian, les fesses en l’air alors que je la caresse à travers sa petite culotte. C’est à mon tour de m’adresser au comateux: "Christian, je crois que Manon a quelque chose d’important à t’avouer…" Elle ne dit rien, aussi je glisse mes doigts sous son string et je les enfonce dans sa chatte, que je découvre merveilleusement humide, visiblement très excitée par la situation, même si elle affiche de la réticence. "Oh…" dit-elle. "Je… je n’ai rien à dire…" Pas contente de sa réponse, je tire un coup sec sur sa chevelure pour lui faire mal, et j’insère deux doigts raides en elle, que je commence à pistonner comme une queue. Je branle cette fille avec passion et fermeté, sur le corps inanimé de son petit-ami, jusqu’à ce que je lui arrache des gémissements de plaisir. "Alors Manon? Qui est-ce qui te donne le plus de plaisir? Lui ou ...
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