Longtemps, je me suis touché de bonne heure
Datte: 23/10/2017,
Catégories:
f,
h,
fffh,
fhhh,
collection,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Partouze / Groupe
conte,
occasion,
« Longtemps, je me suis touché de bonne heure… » C’est en souriant qu’il avait écrit cette phrase, la veille au soir, avant de froisser la page et la ficher au panier. Pourtant, elle lui semblait particulièrement pertinente ce matin-là : son érection matinale était d’autant plus prononcée qu’il restait dans une sorte de demi-sommeil, allongé dans le grand lit qui faisait face à la fenêtre de son appartement, la main posée sur son membre, faisant naître une sorte de femme imaginaire à côté de lui, surgie des plis des draps froissés. Cela faisait combien de temps qu’il ne se réveillait plus avec un vrai corps de femme, auprès duquel on s’approche, dont on épouse les formes, que l’on commence à caresser ? Un mois, deux, trois ? Il avait beaucoup pratiqué l’éveil progressif des filles qui avaient partagé son lit. Ventre à dos, il commençait par mettre sa bouche sur le cou de la fille, qui, généralement, remontant ses jambes en position fœtale, venait se coller contre lui. Alors il passait un bras autour de la taille, sans marquer d’intention particulière de réveiller sa compagne. Mais en même temps, son sexe dur venait doucement se poser sur le sillon du cul… Les gourmandes commençaient alors à réagir, sans ouvrir les yeux, se retournaient vers lui, en s’étirant : il sentait les seins venir s’écraser contre sa poitrine, il insinuait une jambe entre deux cuisses qui s’entrouvraient, une de ses mains venait caresser le sexe encore endormi, l’autre commençait à jouer avec les ...
... seins qui frémissaient… Commencer ainsi, en introduisant son membre dans une vulve qui s’ouvrait doucement, pendant que la femme se réveillait en gémissant des mots doux, encore enrobés de sommeil, était une des meilleures façons pour lui de faire l’amour. Certaines filles, les paresseuses, préféraient d’ailleurs ne pas se retourner : il les prenait alors par derrière, insinuant de plus en plus son membre entre les jambes fermées, murmurant à l’oreille de la belle endormie, lui conseillant de continuer à rêver : qu’elle le laisse simplement faire, pendant qu’il lui ouvrait tendrement le sillon des fesses, pour frotter le bout de son gland dans l’entrejambe, entre le petit trou plissé et les lèvres qui peu à peu s’humidifiaient sous ses doigts. — Laisse-toi faire, tu vas voir, ta journée va bien commencer… Elles se laissaient faire, même celles qui avaient déjà largement eu leur part la veille au soir, baisant jusque bien avant dans la nuit. Il faisait alors glisser son sexe dans les parois humides, allait taper, de plus en plus fort, au fond du vagin, faisant se contracter de plaisir le corps à peine sorti du sommeil. — Marcel, ooohhh Marcel, mais je dormais moi ! Non, ne t’arrête pas, continue : c’est comme un rêve… Oui, là tu me fais jouir… Comme tu vas profond… Il sentait le sexe si largement s’ouvrir, mouiller encore et encore : il lui suffisait alors de venir titiller, entre le pouce et l’index, le clitoris déjà dressé, pour que la fille se pâme. Parfois, il lui était même ...