La naufragée
Datte: 31/12/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
La tempête fait rage, les creux atteignent des hauteurs inquiétantes. J’ai une peur bleue. Marc, mon mari, me conseille de me mettre à l’abri dans la cabine. Malgré le temps gris, et ne voulant pas nous mettre en danger, il envoie des fusées de détresses.Par chance, nous sommes repérés par un bateau, de taille assez imposante. Un homme, sur le pont, nous envoie des pneumatiques.-Prépare quelques affaires, crie mon mari. Un simple sac suffira.-Accrochez-vous, crie-t-il, montez…Une fois à bord, l’homme ôte son imper, nous fournit des couvertures, et nous propose de prendre une douche bien chaude.-Par contre, je n’ai pas d’habits de femme, un peignoir ça vous ira ?-Parfait Monsieur, c’est gentil. Je m’appelle Adeline, voici mon mari Marc. Il a pris froid le pauvre.-Enchantais, moi c’est Lucas. Sale temps n’est-ce pas.L’homme, de type italien, est très séduisant, débordant de virilité. Le genre de mec qui attire les femmes, même les plus fidèles. Quand on sort de la salle de bains, Lucas à dressé une table, avec des boissons et de quoi manger. Puis il nous fait visiter son bateau. Il est immense. Deux grandes chambres, un vaste salon avec kitchenette, et une grande cabine de pilotage.Mon mari, épuisé et souffrant, prend un somnifère et va se coucher. Je le rejoins quelques minutes plus tard, il dort à poings fermés.Moi, je tourne et retourne, impossible de dormir. Je me lève et vais au salon, quand j’entends des bruits provenant de la cabine de pilotage. Je m’approche et voit ...
... Lucas installé face au gouvernail, sur une chaise assez haute, qui sert plus d’appui que d’assise.-Vous ne dormez pas ?-Non, me répond-il. La tempête à cessé, regardez le ciel comme il est dégagé, il est beau.C’est vrai que la vue panoramique est saisissante.-Ca ne doit pas être évident de conduire un tel engin.-Non, c’est assez facile, vous voulez essayez. Tenez, mettez-vous devant moi. N’ayez pas peur, poursuit-il en me voyant hésitais.En toute confiance, je me place devant lui, en tenant mon peignoir bien serré, de peur qu’il ne s’ouvre.Il prend mes poignets, et les place sur le gouvernail. Ses mains sont incroyablement douces. Au bout de cinq minutes, ses mains remontent sur mes avants bras, puis me prend par la taille. Lentement, il dénoue mon peignoir qui glisse sur le parquet. Je suis nue dessous. Je sens son souffle chaud dans mon cou, ce qui me procure une agréable sensation.Je n’oppose aucune résistance, ce qui l’incite à aller plus loin.Une main saisit un sein, fait rouler le bout, l’autre remonte sur ma cuisse, jusqu’à à mon sexe. Un doigt caresse ma fente, s’insinue dans ma chatte. Je pousse un léger soupir, me mets face à lui, et lui prends les lèvres.Lentement, je glisse le long de son corps, couvre le torse de baisers. Arrivé à la hauteur de son sexe, je baisse le maillot, et libère l’objet de tous mes désirs. Il est énorme. Je fais coulisser le prépuce pour décalotter le gland, prend la bite en bouche, et commence à le sucer.Je me place de façon, à ce qu’il ...