Ma tante et sa fille complotent contre moi (5)
Datte: 02/01/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... intimes mettent le doigt sur cette relation interdite. Elle me demanda donc le plus gentiment du monde de rester à l’étage, venir dire bonjour avec Nico et Jenna, et de remonter, de regarder un film, de jouer, peu importe, mais de ne pas descendre. Je lui jurai qu’il en serait ainsi. Elle m’embrassa une dernière fois, j’y sentis toute son affection pour moi,... étais-je amoureux ? Je décidai donc de voir avec Nicolas s’il voulait voir un film. Il ne pouvait pas, il participait à un tournoi en ligne qui durerait une bonne partie de la nuit, mais me dit que ça ne le dérangeait pas si j’étais à côté de lui pour le regarder et le coacher. Ce que je fis pendant une petite heure, avant que Jenny ne rentre. Comme j’étais content. — Tu es rentrée plus tôt que prévu ! lui dis-je en lui retournant sa bise pour me saluer — Ouaaaaais, répondit-elle en trainant sur la fin du mot, visiblement fatiguée de sa journée. Tu fais quoi toi ? — Rien, je m’emmerde un peu. Tu as encore un peu de force pour te poser et mater un film ou discuter ? — Ouais carrément. Plutôt chill, j’ai de la weed si tu veux. — Grave. On se pose dans ta chambre ? — Ouais, suis-moi. La soirée fût bien moins mouvementée que prévu, mais Jenny semblait apaisée. Sa tête posée sur mon ventre, nous passâmes quelques heures à discuter doucement, lentement, tout en fumant. Du fait de notre état et de cette nouvelle relation de confiance qui était née entre nous ces derniers jours, Jenny décide de me faire une confidence. Elle ...
... m’apprit que depuis ses 18 ans, elle travaillait dans une clinique assez "alternative", et en alternance du fait de son cursus d’infirmière. Ma curiosité était piquée à vif, même si la drogue m’avait anesthésié et rendait mes réactions assez molles. Elle m’expliqua que jusqu’à la fin des années 2010 existait en bordure de ville, au milieu des bois, un cinéma pour adultes, qui se transformait le weekend en salon de strip-tease. Ce lieu n’était indiqué nulle part, ni sur la route, ni sur Google. Il fallait être un véritable fouineur obstiné pour réussir à trouver les informations requises sur quelques forums. Quoi qu’il en soit, ce club-cinéma avait fermé car le propriétaire n’avait tout simplement plus un rond. L’happy ending si l’on peut dire, c’est qu’un habitué avait repris la boutique. Médecin de profession, père de quatre enfants adoptés (sa femme étant stérile) il en profita pour rafraîchir son métier, et décida donc de créer une clinique particulière, autrement dit, une banque de sperme. Le côté original de son "œuvre" était qu’il avait gardé et formé les anciennes strip-teaseuses à ces nouveaux métiers : secrétaire médicale, échantillonneuse, archiviste et j’en passe - tout ça étant un peu farfelu car sortant de la boite crânienne de notre bon médecin. Le concept allait encore plus loin, mais je ne l’appris qu’un peu plus tard, lorsque, n’en pouvant plus de ne pas connaître le secret de ce lieu, je décidai de m’y rendre. La soirée s’acheva là-dessus, sa voix m’avait ...