Une querelle qui se termine bien
Datte: 02/01/2021,
Catégories:
pénétration,
fh,
Collègues / Travail
amour,
soubrette,
noculotte,
Oral
fdanus,
fouetfesse,
mélo,
... au-dessus des genoux et chaussée de sandales vertes. Elle avait abandonné pour une fois sa tenue de prédilection : le jean défraîchi aux nombreuses réparations de fortune, le tee-shirt ample bien trop grand cachant ses formes, les souliers éculés. Elle s’est avancée vers moi en ne disant rien, visage fermé, chevelure noire en désordre lui tombant sur les épaules. J’ai tout de suite senti qu’elle avait un problème ; visage défait, elle avait de la peine à me regarder dans les yeux. Elle me dit bonjour d’une voie rauque avec une certaine réticence. Je sentais qu’elle était très tendue. Avait-elle peur de me rencontrer ? — Bonjour Monsieur…— Bonjour Virginie ; je ne vous attendais pas… Vous désirez me voir ? Je peux vous accorder un moment mais il ne faut pas que cela soit trop long car j’ai un rendez-vous téléphonique à 16 h. Sans attendre sa réponse je la fis entrer, me doutant un peu que nous allions avoir un entretien pas facile. — Asseyez-vous. Désirez-vous un café ? Elle opina de la tête mais ne prononça aucune parole ; je voyais à ses yeux gonflés et humides qu’elle avait pleuré peu de temps avant. Elle était confuse et très tendue. Elle s’était assise sur le sofa contigu à la porte de ma suite « parentale », vaste chambre avec salle de bain privative ; je sentais qu’elle voulait me parler mais cela ne semblait pas lui être facile. Après des allers et retours avec la cuisine pour faire du café, je lui en apportai une tasse que je posai sur la table basse située devant ...
... elle ; elle la toucha à peine, tant elle était tendue. Tirant une chaise, je m’assis alors face à elle de l’autre côté de la table tout en sirotant le mien. — Comment allez-vous ?— … Elle resta silencieuse un grand moment, ses mains crispées sur ses genoux, les joues rouges, puis elle finit par parler avec difficulté, tête baissée, yeux fixés sur son café. En fait, rien n‘allait : je l’avais mise à la porte plus de 15 jours avant ; sa fille comme ses parents n’étaient toujours pas au courant et elle se trouvait sans filet de secours. Elle avait espéré pouvoir retrouver assez facilement du travail soit en tant que femme de ménage, soit en tant que caissière ou encore de serveuse, mais elle ne s’était pas rendu compte que ce n’était pas la bonne période à Boulogne-Billancourt, les places étant déjà prises par les jobs d’été. On ne lui avait proposé que des emplois très temporaires ou très précaires, ce qui lui poserait un problème dans le futur pour se nourrir, faire vivre sa fille et assumer la location de son appartement. Certes, ses parents auraient pu l’aider en attendant de trouver un nouveau travail stable, mais elle aurait été obligée d’annoncer sa mise à pied ; elle n’y tenait sûrement pas car ils seraient venus me voir de suite pour me demander les raisons de son licenciement. Elle voulait savoir si elle ne pouvait pas reprendre son travail chez moi comme avant. Reconnaissant ses torts, elle proposait une légère diminution de son salaire et un travail gratuit lors de ses ...