1. Fantasmes fantomatiques (1)


    Datte: 03/01/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... japonaise, en sortit, un grand sac poubelle noir rempli d’ordures en tout genre dans les mains. Il se dirigea alors vers les bennes à ordures lorsque ses yeux se posèrent sur Antoine. Nu en dessous de la ceinture, il effectuait des mouvements de bassin dans le vide, comme s’il copulait avec une femme imaginaire. -Eh, vous ! l’appela alors l’employé du restaurant. J’ignore ce que vous faites exactement, mais vous n’avez pas à le faire ici. Maintenant, fichez-moi le camp, ou j’appelle la police ! Antoine ne l’entendit pas. Il était concentré sur les émotions extraordinaires qui le tiraillaient de toute part. Il effectua une douzaine de mouvements avant de sentir l’orgasme arriver ; un liquide blanchâtre s’échappa de son uretère pour remplir le vagin de sa sœur. De son point de vue, l’employé du restaurant avait simplement vu un homme éjaculer sur le sol, dans la ruelle arrière du restaurant dans lequel il travaillait. -Mais vous êtes malade ! rugit-il. Je ne plaisantais en parlant ...
    ... d’appeler la police ! Cette fois, Antoine l’entendit et comprit ce qui venait de se passer. Salomé avait disparu de sa tête. La portion de sol où elle se trouvait allongée et nue avait été remplacée par une flaque de liquide séminal masculin. Le sien, en déduisit-il. Apercevant l’employé du restaurant attraper son téléphone et composer un numéro à deux chiffres, Antoine se leva dans un sursaut et s’enfuit aussi vite qu’il le put. Il courut le long des allées de maisons jusqu’à rejoindre l’immeuble dans lequel se trouvait son appartement. Il y entra, monta les escaliers lui faisant face après avoir dépassé une rangée de boîtes aux lettres vides, et rejoignit la porte de son appartement qu’il ouvrit à l’aide de la clé qu’il gardait toujours dans la poche arrière de son pantalon. Une fois entré chez lui, il se perdit pas de temps et rejoignit son lit. Il s’écroula sur les draps et, plaquant sa main contre sa tête, se murmura à lui-même : -Mon vieux, je crois que tu commences à perdre le contrôle. 
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