1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1050)


    Datte: 23/10/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1049) - C’est ainsi que Walter me trouva lorsqu’il vint me chercher… - Bien la chienne, tu es attendue ! Suis-moi, en quadrupédie obligatoirement, tu t’es assez reposée ! Effectivement, il n’était plus temps de se reposer ! Walter avait retrouvé son rythme normal, c’est-à-dire soutenu. Au chemin que le Majordome nous faisait prendre, je devinais que nous nous dirigions vers la Grande Salle de Réception. Je fus émerveillée, lorsque nous entrâmes, par les magnifiques toilettes que quelques personnes, certainement très importantes, portaient. De vrais costumes de princes et de princesses, comme je les appelais quand j’étais une petite fille. De merveilleuses tenues d’époque ! Le Maître n’était pas encore présent. Une unique cage se trouvait en plein milieu de la salle. Très peu épaisse, la largeur étant égale à la longueur, des crochets étaient installés à l’intérieur. Walter m’y mena. Quelques invités jetèrent un regard à peine intéressé vers nous, et continuèrent leurs conversations. Le Majordome ouvrit la cage en deux, plaça un tabouret devant, en son centre, et m’ordonna de me mettre debout sur celui-ci, après avoir enlevé la laisse de mon collier. Il me banda les yeux et commença à m’attacher les poignets, puis une par une, il me lia les chevilles à la cage, m’imposant ainsi les cuisses bien écartées à la vue de mes orifices. Je me retrouvais ainsi suspendue les bras et les jambes étirés ...
    ... en forme d’étoile. Il referma alors la cage. Même si je n’avais pas été attachée, je n’aurai pas pu bouger tant l’espace était réduit. Il l’était au point que mon visage était écrasé et serait certainement marqué, heureusement pour moi, le nez avait la place de passer entre deux barreaux. Je ne m’en aperçu qu’au moment où la cage se refermait sur moi mais une étroite ouverture avait été laissée pour que chaque sein puisse se retrouver, en forçant un peu, l’extérieur de celle-ci. Je ne voyais rien, mais tous mes autres sens étaient en éveil. Je restais ainsi un temps indéfini, sans que personne ne paraisse s’occuper de moi. Mais je ne cherchai même pas à savoir ce qui allait m’arriver. Je me sentais confiante, et je savais de toute manière que ma sécurité ne serait pas mise en danger. Je continuais alors mes réflexions de la journée. Quand soudain, j’entendis toutes les voix ne devenir qu’un murmure avant que le plus grand silence ne se fasse. Je devinais aisément que Monsieur le Marquis d’Evans, Lui-même, venait d’entrer dans la pièce. - Mes chers amis, Je vous ai convié ce soir en comité restreint car il n’y aura qu’une seule de Mes chiennes qui sera mise à Votre disposition en temps voulu. Elle subira diverses épreuves, que J’aurai choisies pour elle, mais vous pourrez également lui en imposer à Votre tour ! Mais avant, et pendant que le dîner sera disposé dans la Grande Salle à Manger, je Vous invite à l’examiner comme bon vous semblera. Ce fut alors un défilé des mains ...
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