Chapitre 3 - Les petits trous - Histoires de Sexe

Chapitre 3 - Les petits trous

... Par contre pour les nanas, rien de plus naturel que de se prendre une queue dans le cul et en plus, on doit aimer ça. Allez, avoue que t’as aimé ta petite aventure avec Jean. Je n’y crois pas. Elle a tout raconté à Estelle. Je suis muet et pourtant j’ai envie de crier « Salope ! » même si ce qu’elle dit est vrai. Émilie continue : — Je vois que c’est un sujet sensible. Alors prenons les choses sous un autre angle. Regarde-nous toutes les deux, l’une contre l’autre. Je suis sûre que ça t’excite. Puis Émilie embrasse Estelle à pleine bouche. Surprise, Estelle semble apprécier. Le baiser est long et langoureux. Pour m’exciter, ça m’excite. Émilie interrompt le baiser et me lance : — Alors ? Tu aimes nous voir comme ça ?— Oh que oui ! Je trouve ça bandant.— Eh ben nous, c’est pareil quand on voit deux mecs baiser. Mais on n’a jamais vu ça en vrai. Tu veux nous faire plaisir ? Je sens le piège mais je ne peux que répondre : — Bien sûr.— Organise-nous un petit truc avec Jean. Émilie chuchote quelque chose à l’oreille d’Estelle. Puis elles se lèvent. Émilie part à la recherche de mes vêtements tandis qu’Estelle s’installe tranquillement entre mes jambes. — Si tu réussis à organiser un moment sympa pour tous les quatre demain après-midi, je te suce, me lance Estelle. Dire qu’on se détestait, il y a encore un peu plus d’une heure. Émilie a fini par trouver ce qu’elle cherchait. — Tiens, la carte de visite de Jean et le téléphone. Appelle-le. Je prends les objets qu’elle me tend ...

... et Estelle gobe ma queue. — Qu’est-ce tu fais Estelle ? demande Émilie.— Ben, je le pompe, répond Estelle après avoir interrompu sa fellation. On lui a promis.— Ouais, mais après le coup de fil. C’est un mec, il ne pourra pas parler et prendre du plaisir en même temps. Deux choses, c’est trop. Euh, ça va bien là. Je ne dis rien mais c’est bien parce que je suis en infériorité numérique. Pour accélérer les choses, Émilie me reprend tout, compose le numéro et me redonne le téléphone. Ça sonne. Personne. Ouf. Deuxième sonnerie. Toujours personne. Oui. Troisième sonnerie. — Allo !— Euh… Allo ! C’est Jean ?— Lui-même. Et vous êtes ?— Salut Jean, c’est moi.— Moi ? Moi qui ? Je suis vexé, il ne me reconnaît pas. À voix basse, je lui chuchote : — Moi… barre d’acier. Éclats de rire autour de moi. Mais cette fois Jean comprend qui je suis. — Ah ! Salut ! Comment ça va depuis ce matin ?— Bien. Très bien. Euh, je t’appelle pour demain.— Demain ?— Ouais, demain. Samedi quoi ! Voyant que je me comporte, comment dire ? de façon complètement débile, Émilie m’arrache le combiné, s’assoit à côté de moi. Estelle en profite pour avaler ma queue. — Bonjour Jean. Je suis Émilie la copine de… barre d’acier. Je n’entends pas la réponse mais je sens la langue d’Estelle qui s’active sur ma tige. — Je sais, c’est un surnom complétement idiot qu’il s’est inventé. Ça doit être son côté comique. Et l’autre ? ! Estelle continue à s’occuper de ma queue et je ferme les yeux. Je ne fais plus attention à la ...