Adam : un garçon extraordinaire (1)
Datte: 03/01/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Adam : un garçon extraordinaire Nouvelle qui s’adresse à des lecteurs cherchant une histoire progressive et sensuelle. J’irai en enfer, pensa Adam. Il était à genoux, dans le couloir, l’œil posé contre la serrure. Une ombre drue enveloppait sa silhouette. Seule un mince cône de lumière blanche se diffusait par intermittence dans l’obscurité lorsque le jeune homme redressait son mètre-quatre vingt quinze pour soulager son dos douloureux. La lumière blanche, en se répandant dans le couloir, avait une forme élégante. Alors que la tension était à son comble, Adam se laissa distraire par la source de lumière dont il modulait la forme et l’intensité en bougeant la tête. Il se retourna et suivit des yeux le vol silencieux des rayons dans l’espace. Un pouffement de rire venant de la chambre le rappela à son dessein. Il colla son œil à l’ovale de la serrure. Trois jeunes filles étaient assises par terre dans un champ douillet de coussins roses et verts ; derrière elles se dressait un mur peint en bleu ciel. Adam, qui était très ignorant en art mais très sensible à la beauté, eut un pincement au cœur en voyant ce charmant tableau. Emilie, la plus jeune de ses cousines, s’adressait aux deux autres en se tenant accroupie. Adam, du regard, caressa le dos frêle qui s’offrait à lui, les os qui saillaient à travers la peau pâle. Ses cheveux mouillés tombaient en paquets sur sa nuque. Il ne put s’empêcher de glisser un œil vers le bas de son dos. Elle portait une simple culotte rose. Son ...
... œil était écarquillé. Adam tentait d’imprimer durablement ces images dans sa mémoire. A nouveau, les deux filles allongées côte à côte sur les coussins moelleux s’esclaffèrent devant les gesticulations d’Emilie, survoltée, qui interprétait différents personnages dans une grande comédie baroque. Marguerite battait des pieds sous le coup de l’excitation tandis que Johanna riait plus doucement, comme entre ses dents. Bien que le silence fût total dans le couloir, Adam ne comprenait pas ce qu’elle disait ; seuls des pouffements, des rires et des petits cris aiguës parvenaient à ses oreilles. Bientôt, Emilie se mit à mimer les mouvements d’un félin ; elle marchait à quatre pattes vers ses cousines et mettait des coups de pattes dans le vide. Ses petites fesses s’offraient à la vue d’Adam ; elles étaient belles et fermes. Sous la culotte rose, on voyait se dessiner les lèvres de son sexe. Marguerite se roulait par terre de rire, sa poitrine rebondissait au rythme de ses éclats. Johanna demeurait silencieuse. Soudain elle s’approcha d’Emilie, la prit par la nuque et colla sa bouche contre celle de sa cousine. Marguerite arrêta de rire et les regarda avec attention. Emilie ne bougeait pas et se laissait faire malgré la surprise. Leur baiser était long et langoureux. La main de Johanna se posa sur la hanche de sa cousine, puis glissa doucement vers ses fesses qu’elle palpa et caressa. Tandis que Marguerite rougissait et s’approchait pour déposer consciencieusement un essaim de petits ...