1. Carl e diem


    Datte: 23/10/2017, Catégories: Anal Mature, Partouze / Groupe

    ... attrapé. Il est vrai que je dois concéder à ma honte que je les ai pas mal allumé. Passant l'été à l'endroit de la piscine ils n'ont pu qu'admirer mes formes exposées au soleil. Il m'est arrivé qu'outre des seins nus, avoir retiré la culotte. Le soleil m'absout de toute décence. Je feins alors de somnoler tandis que peu loin passent ces jeunes hommes. Je sais qu'en leur nuit ils se branlent à mon cher souvenir.Il s'en est suivi qu'après un hâtif échange de regards j'ai pu rapidement débaucher les plus entreprenants d'entre eux. De toute façon j'étais précédé de ma réputation. Notamment leur père pour certains m'avaient déjà sauté. J’étais la notoire pute du quartier. Ainsi me stigmatisait certaines pécores jalouses. Mon rôle en ce sens était plus d'initiatrice. En mes bras et cuisses ils devaient grandir et devenir peu à peu ces amants plus assurés. Je prenais à cœur mon rôle. A cet égard j'ose dire que je devins plus qu'amante, une seconde mère pour eux.Ils constituaient une sorte de garde rapprochée. Loin de me mépriser comme les vieux mâles, ils prirent souvent fait et cause pour moi. Je pus recourir maintes fois à leur courage et jeunes muscles pour évincer quelques importuns qui m’avaient manqué de respect. Là aussi _ ce qui paraîtra curieux _ mes fils fermaient les yeux que certains de leurs potes se tapassent leur mère. Comme pour un grand artiste on me passait mes lubies. J'étais incurable. Heureusement je contre-balançais ces turpitudes par d'autres et immenses ...
    ... qualités. En cela on me pardonnait.Ainsi cet été et à l'approche funeste de mes cinquante ans, je pouvais considérer que le sport et un soin effréné de mon corps me rendaient encore baisable. J'en pouvais remontrer à nombre de jeunes rivales. Outre qu'une femme mûre recèle un charme inaccessible à d’autres, j'étais recherchée. Avec moi, un homme était assuré de bien s'amuser. On louait partout ma dextérité à sucer. J'ai toujours adoré cela. Rien ne vaut en cela la motivation et la ferveur. Il n'était pas rare que dans une auto garée sur le bas côté on put repérer ma tête blonde tout penchée sur un homme.Cela arrivait des fois inopinément. Je pouvais à la caisse de l'épicerie croiser un voisin. Celui-ci courtois s'engageait à me raccompagner en auto. J'éludais des fois prétextant pour la forme effectuer l’unique kilomètre seule à pied. Au contraire si j'acceptais une main hâtive se posait sur ma cuisse. Peu à peu j'embrassais et laissais une main courir hardiment sous ma robe. Le type rencontrait souvent une chatte lisse et offerte. Puis de but en blanc sa queue parvenait dans ma bouche. Si l'entrain et la vigueur étaient là, il me prenait illico sur la banquette arrière.Cette nuit-là j'avais remplacé mon mari parti en mission pour quelques jours. Un copain de mon fils était venu se glisser dans mon lit. Il était de loin un de mes meilleurs élèves. Insatiable, il me prit plusieurs fois. Au matin j'étais épuisée. J'admirais qu'il put recharger autant ces couilles que je croyais ...