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Pu te de luxe
Datte: 03/01/2021, Catégories: Sexe Interracial, Voyeur / Exhib / Nudisme Anal
... de la poste et ne pas vouloir me rencontrer ». Ce àquoi elle répondit : « En effet j'ai hésité. »Nous en étions aux confidences. Sans ambages, je lui dis : «Je voustrouve très belle. Je n'aurais jamais cru dans le plus beau de mes rêvespouvoir vous rencontrer à nouveau ». Elle éclata de rire jetant : « Vilflatteur! » Je jetais alors mon pied sous le table afin de lui caresserle sien. Elle répondit par un même geste. Par la suite je perçus qu'elleavait retiré son pied de l'escarpin et m'en caressait doucement lacheville. Je bandais ce qu’elle devait percevoir avec une excitation quitransparaissait d'autant plus dans son œil lumineux.J'admirais par ailleurs le rouge brillant sur ses lèvres charnues. Cedevait être magnifique d'embrasser une telle bouche et d'en être sucé.Elle s'appelait Marie. Je répétais à tue-tête ce prénom et le tutoiementétait devenue maintenant de rigueur entre nous. Elle abandonna sa maindans la mienne. Dans un souffle je lui dis : « Il faut que je vous fassedécouvrir les pornos dont j'ai parlé. » Mi-sourire elle répondit : «Volontiers. » J'embrayais : »Pourra-t-on se revoir au plus tôt ? »J'ajoutais : « Puis-je te raccompagner ? » Elle sourit.Je n'aurais pas été choquée si elle avait refusé. J’avais tant obtenu encette première fois. En même temps je concevais qu'elle ne voulut pas memontrer où elle habitait. Elle s'en tirât par une pirouette. « Peux-tume déposer à l'autre bout de la ville chez une amie ? » Je ne pusqu'accepter trop heureux. En fait ...
... je devinais qu’elle devait habiter àquelques pas de là et était venue à pied. Faisant la dupe et jouantvolontiers au taxi, nous roulâmes ainsi quinze bonnes minutes. Ilfaisait sombre. Le soir était tombé. Ma main allât jusqu'à sa cuisse.Celle-ci était douce, puissante et chaude. J'adorais cette matièrevoluptueuse du bas qui rend si désirable la chair en dessous. Jebénissais celui qui avait inventé cela. Il avait ajouté au bonheur del'Humanité. Écartant ses cuisses à mesure j'étais invité à aller plusloin jusqu'au sanctuaire où je savais trôner l'Enfer ou le Paradis. Sachatte était en effet brûlante. Elle saturait d'humidité sa culotte.Marc n'avait exagéré la qualifiant de salope. Elle ne trouva pas àredire que j'enfonce d'un coup ma main qui passait les vitesses, au fondde sa culotte.Je malaxais à présent sa chatte lui arrachant ses premiers gémissements.Je trouvais plus sage et importun de nous arrêter aux abords de laroute. Nos bouches furieusement se mêlèrent. Elle me dévora. Luttetendre et vorace. Il lui importait peu que les passants la devinassententrain de se donner à un nègre. La luxure semblait la rendre folleinaccessible à l'élémentaire pudeur. Aussi pus-je lui extirper l'unl'autre sein de son corsage et les exhiber à tous. Je les dévorais nonmoins avec ma bouche. Elle fut prise en cela par un râle profond dejouissance.Je ne sus comment peu à peu elle s'en prit à ma braguette pour enextirper le nœud que je savais gros et à sa convenance. Elle le branlapeu après et ...