1. Agent secret en péril (2)


    Datte: 05/01/2021, Catégories: Transexuels

    ... le maquillage… et tellement excitante alors que je suçais ces gardes… je me branlais sur mes propres images et j’eus encore un de ces orgasmes puissant ! Je tombais endormis peu après, et mes rêves devenaient de plus en plus hard… je me voyais en bimbo, objet sexuel pour les hommes, et cela me faisait bander à m’en faire mal… Quand les gardes revinrent, j’avais mis un ensemble shorty et soutien en dentelle blanche, bas résille blancs assortis… je ne pouvais regarder autre chose que l’entrejambe du garde, qui bandait déjà sous sa combinaison, en me voyant… il sourit… « Alors ma petite cochonne, bien dormi ? Oh mais tu en veux encore à ce que je vois ! » Une partie de moi avait encore honte à l’admettre, mais oui, je voulais retrouver ces sensations de plaisirs, ce membre dur et chaud entre mes lèvres. Il ouvrit l’ouverture dans la grille, et sortit son sexe bandé, mais sans le présenter dans l’ouverture… il était assez près pour que je puisse bien le voir, presque le sentir, mais assez loin pour que je ne puisse le toucher, même du bout de la langue… – Si tu le veux, il va falloir supplier pour l’avoir ! C’était une étape terrible. Être forcé à sucer un autre homme, c’était une chose. Mais le supplier… c’était autre chose ! L’estocade finale, l’humiliation ultime. Si je le faisais, il n’y aurait plus de retour en arrière… mais je ne pouvais détacher mon regard de ce gland gonflé de désir, de cette hampe veinée. Ce bout de chair dure me dominait, devenait mon maître. J’étais ...
    ... son esclave. Et plus que tout, je le voulais entre mes lèvres. – S’il vous plait, maître… votre petite cochonne voudrait vous sucer… vider vos jolies testicules de son jus si délicieux, s’il vous plaît… – Tu es une bonne petite cochonne soumise. C’est très bien. Je vais peut-être te donner ce que tu veux. Mais d’abord, il faut que tu mettes ça ! Il balança quelque chose par l’ouverture. Je le ramassais. Il s’agissait d’un collier en cuir, rose. Un collier comme on en mets aux chiens. Avec un anneau pour y passer une laisse. Et un autre où était accroché une inscription, en lettre d’or : « Sissy cochonne soumise ». Je regardais le garde, mais mon regard fut vite attiré par son sexe, qu’il s’astiquait lentement. Son gland s’était un peu approché de la grille. Une petite goutte translucide y perlait. Ce gland gonflé de désir… mmmm… Je mis le collier, l’accrochant autour de mon cou. – Excellent, tu es vraiment une bonne petite cochonne soumise. Approche-toi de la grille, que je puisse y accrocher cela ! C’était une laisse, bien entendu. En cuir rose. Je m’approchais docilement, et il accrocha la laisse à mon collier. Puis il avança, son sexe bandé se rapprochant de moi. Je commençais à le lécher, la hampe, les testicules, la hampe, le gland, puis l’attira en bouche, et commença à le sucer. A un moment, il donna comme un coup avec la laisse, sur ma joue. J’arrêtais alors de le sucer. Cherchant à comprendre ce qu’il voulait. Il me fit « Bien ! » Et planta son regard dans le mien. Un ...
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