1. Agent secret en péril (2)


    Datte: 05/01/2021, Catégories: Transexuels

    ... bougeais pas de mon lit. Pas question de leur offrir ce spectacle. Mais l’odeur devenait entêtante, et mon corps de plus en plus difficile à dominer. Et à un moment, au plus grand dégoût de moi-même, je me levais, et allais m’agenouiller pour manger la gamelle, quasiment aux pieds des deux gardes. J’entendais leurs commentaires moqueurs, « C’est un bon chien-chien ça ! » « Tu crois qu’on peut lui caresser la tête pendant qu’il mange ? » « Tu as vu l’état de son slip ? C’est triste quand même ! » « Pas propre le chien ! »… mais je n’en avais cure, sentant dans mon corps ces sensations de plaisirs tandis que j’avalais la nourriture, morceaux par morceaux. Ils se moquèrent encore de moi, et lorsque j’eus terminé, ils changèrent comme d’habitude la gamelle vide par une gamelle d’eau, puis s’en allèrent. Je me sentais humilié, mais en même temps rassasié, relaxé, bien en fait. Mieux qu’au réveil. C’était peut-être ça le secret, lâcher prise ? Prendre du plaisir dans ma nouvelle situation, dans cette humiliation que je méritais sans doute un peu ? J’allais à la salle de bain, et pris une douche. En m’essuyant, je remarquais que je perdais encore poils et cheveux… bientôt je n’en aurai plus ni de l’un ni de l’autre. Il me semblait aussi que ma poitrine s’arrondissait, et quand je passais mes doigts sur mes minuscules tétons, ils devenaient plus sensibles… qu’avaient-ils donc bien pu mettre en plus dans ma nourriture ??? La fois suivante, les deux gardes arrivèrent, et se tinrent ...
    ... devant la grille, sans déposer ma gamelle comme d’habitude. Un temps se passa ainsi, je cherchais à comprendre ce qu’ils voulaient. L’odeur du repas devint entêtante, je salivais, en ayant tellement envie ! Je regardais les gardes demandant pitié… – Tu veux manger ? Demande-le-nous ! Que dis-je, implore-nous ! Ils voulaient que je les implore pour manger ! Une nouvelle humiliation ! Et je savais que je ne pourrais résister, l’odeur, l’envie, prenaient déjà tout mon corps… – S’il… s’il vous plaît… – Pardon ? Tu peux faire mieux que ça… Je m’agenouillais, les implorant du regard… – S’il vous plaît, donnez-moi ma gamelle ! Je vous implore à genoux ! Je veux vous montrez comme je mange bien, comme un bon… un bon chien-chien… – Ah, ah, ah, quel bon chien-chien ! Tiens, tu as bien mérité ta gamelle ! Et ils me la donnaient, me regardant manger tout en continuant leurs commentaires humiliant. Je tombais dans une sorte de routine passive. Mon temps se comptait entre les vidéos (de plus en plus hard, portées sur une soumission au phallus, une envie de toucher, de sucer des verges, l’envie d’être femme, de se soumettre et de laisser les autres décider pour moi), et les gamelles. Je devais implorer, et les gardes me regardaient manger, se moquaient de moi, et j’acceptais de plus en plus l’humiliation. En fait je remarquais que mieux j’acceptais leur humiliation, plus fortes étaient les sensations de plaisirs que je ressentais en mangeant. Je dû me débarrasser de mon slip, qui n’en pouvais ...
«12...789...19»