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Et mon quotidien est venu la bouleverser aussi...
Datte: 06/01/2021, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail amour, Masturbation Oral pénétratio, fdanus,
... juridique.— Je m’en doute un peu oui. Si cela avait été un problème dentaire, vous ne seriez pas là ! Je me suis dit alors que soit elle se foutait ouvertement de moi, soit elle était tellement gênée qu’elle en devenait irritable. Je préférais crever l’abcès. — Vous n’êtes jamais revenue me voir dans la boutique. Pourquoi ? Il y eut un long silence pendant lequel j’ai vu son visage fondre petit à petit. — Cela aurait servi à quoi ?— Cela vous aurait permis par exemple de prendre les deux ouvrages que vous m’aviez demandés de mettre de côté.— Exact ! Je les avais oubliés ceux-là !— À quoi pensiez vous alors ? Son visage s’empourpra alors. — Ne jouez pas avec moi s’il vous plaît. Je ne suis pas en mesure de vous répondre du tac au tac et vous le savez très bien.— Alors, ne jouons plus. Mais dans ce cas-là, je vais vous demander de m’expliquer les raisons de vos larmes de façon plus explicites cette fois-ci. Nous avons tout notre temps non ? Elle me fixa droit dans les yeux et je vis enfin un sourire se dessiner sur son visage. Dieu qu’elle était belle. Des yeux remplis de douceur, les traits fins, des cheveux brillants. Elle avait bonne mine en plus, le teint hâlé, les dents parfaitement blanches et le grain de sa peau était extrêmement fin. Elle se leva, fit le tour de son bureau et se posa entre moi et son bureau, les fesses posées sur le bord, les jambes tendues et croisées. — Il faut vraiment tout vous dire à vous. Vous n’essayez jamais de comprendre l’état d’esprit des ...
... personnes qui vous entourent ? me dit-elle avec une voix suave et douce, assortie d’un regard très posé.— Ecoutez, je… non, en effet, je ne suis pas très doué pour lire dans les esprits ! Et avec vous, c’est pire encore ! Vous passez des rires aux larmes en trois secondes et pire encore, vous fuyez sitôt après avoir connu un orgasme ! J’avoue que je ne comprends pas vos réactions. Elle me regarda longuement, ses grands yeux dans les miens. J’en étais gêné et je déteste ça. Ça me rend irritable. Je me sentais comme un gamin pris en flagrant délit de vol de bonbon dans le placard de la cuisine. — Vous vous sentez comment à cet instant précis ? me demanda-t-elle. Je répondis honnêtement. — Très très mal. Cela se voit tant que ça ?— Un peu oui. Et cela vous rend agressif à mon égard je trouve. Vous pensez que vous pouvez y faire quelque chose ? Je ne savais pas quoi répondre. Bien sur que je pouvais faire quelque chose ! Il me suffirait qu’elle s’allonge là sur son bureau et que je lui fasse l’amour comme une bête ! Mais en y repensant bien, je savais au fond de moi que le sexe n’avait pas grand chose à voir avec mon état. La raison de ma nervosité était toute autre et je commençais tout doucement à m’en rendre compte. Pour autant, il était hors de question de lui avouer la vérité pour le moment. — Bon… nous sommes partis sur un mauvais pied tous les deux. Je vais tâcher d’être moins désagréable et faire en sorte que nous puissions avoir des relations normales.— Humm… pourquoi pas ! ...