1. Et mon quotidien est venu la bouleverser aussi...


    Datte: 06/01/2021, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail amour, Masturbation Oral pénétratio, fdanus,

    ... et posai délicatement mes lèvres sur la commissure des siennes en un baiser doux et tendre. Je glissai alors jusqu’au centre de sa bouche en effleurant ses lèvres. Son parfum m’enivrait et la douceur de sa peau était un enchantement. Mes mains glissèrent sur son cou et j’appuyais ma bouche plus forte sur la sienne, ma langue venant au-devant d’elle. Je trouvai alors une langue chaude et douce qui m’accueillit avec douceur et beaucoup d’entrain, elle venait et tournait sur moi, découvrant l’intérieur de ma bouche, dessinant des ronds à n’en plus finir. Un ballet de langues dansait entre nos lèvres, léchant, humidifiant chaque parcelle rencontrée. Je pris ses lèvres dans les miennes et tirai un peu dessus puis rejoignis sa bouche dans un baiser de plus en plus pénétrant. Peu à peu, le combat de langues cessa sans vainqueur et ma bouche se promena alors vers le lobe de son oreille pour descendre le long du cou lentement. Mes mains en profitèrent pour ôter la veste du tailleur qui tomba au sol derrière elle, découvrant alors les épaules nues sous le top noir. Ma bouche en profita pour descendre plus encore sur sa gorge et bifurqua pour se glisser sur son sein. J’embrassai le tissu et sentis sous mes lèvres le téton se dresser doucement. Là encore, elle ne portait rien. Sa poitrine ne semblait pas très volumineuse mais ses seins étaient fermes et sensibles. Ma langue titilla son téton au travers du tissu et je sentis un frisson la parcourir lorsque je refermai mes lèvres dessus. ...
    ... Au bout de quelques instants, n’y tenant plus, je pris son top dans mes mains pour le lui faire enlever. Elle leva alors les bras et je vis ce que je pensais ne plus jamais voir : son verre de thé, emporté par l’élan, tomba de la table haute pour se répandre sur la veste au sol. Alors que le gobelet tournait encore sur lui même, nous nous sommes regardés, ahuris, et sommes partis dans un fou rire commun. — Décidément, chère Anne, vous êtes d’une maladresse ! lui ai-je reproché avec un grand sourire.— Moi ? Vous êtes culotté vous alors ! C’est vous au contraire qui…— Tutututut ! Ne niez pas ! Et je vais de ce pas vous administrer une correction que vous n’oublierez pas ! En disant cela, je m’étais rapproché d’elle en la prenant par les hanches et l’avais mise dos au mur en nous écartant de la flaque de thé. Ma bouche avait repris sa danse dans son cou avant de revenir sur ses seins, nus à présent. Ils étaient superbes, fiers et visiblement très sensibles. Les pointes s’érigeaient sous ma langue à chaque passage, de plus en plus rouges et tendues ; je les pris les dans mes mains et entrepris de les caresser, lentement tout d’abord, puis de plus en fort, les pinçant un peu, beaucoup, alternant les coups de langue, les pincements et les étirements. J’entendais son souffle plus fort, entrecoupé de gémissements légèrement plaintifs. En relevant la tête, je vis son regard un peu vitreux, hagard, presque perdu. Ma bouche se plaqua sur la sienne avec force pendant que mes mains ôtaient ...
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