Intrusion fraternelle (3)
Datte: 06/01/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... trio masculin. — Quoi ? Vous vous moquez de moi, je ne vais pas faire ça ! protesté-je en riant nerveusement. — Allez, chérie, entends-je mon mari, joue le jeu. Bon, OK. Jouons ! Cela pourrait se révéler intéressant. Je me demande qui sont les deux volontaires que je vais devoir palper en plus de mon mari. On m’approche du premier. Sans avoir à le toucher, je sais déjà que ce n’est pas mon homme : une forte odeur de whisky se dégage de lui, or Jean n’en boit pas. Je joue quand même le jeu. Un gros ventre, une barbe épaisse : je reconnais un oncle de Jean. Je passe au deuxième. Lui me pose plus de difficultés ; il semble avoir la même carrure que Jean. J’hésite un instant, mais un examen plus poussé de son visage me révèle que ce n’est pas mon homme. Je pense reconnaître un de mes collègues. Logiquement, Jean est forcément le troisième. On m’approche de lui. Un sourire ivre déforme mon visage. Je pose mes mains sur son ventre pour caresser ses abdos et remonte doucement vers ses pectoraux en essayant de le chauffer un peu au passage. C’est lui qui a voulu jouer, après tout ! Je me rends soudain compte que quelque chose cloche : l’homme que je viens de caresser est plus musclé que Jean. Il a l’air plus grand aussi. Merde ! — Aucun des trois n’est Jean ! déclaré-je à l’assemblée. — Tu es sûre ? demande notre témoin. Tu devrais vérifier. J’ai reconnu les deux précédents, mais qui est cet homme ? Suis-je trop ivre pour ne pas reconnaître mon homme ? Je repose mes mains sur ce ...
... mystérieux torse masculin. Oui, ses pectoraux sont plus massifs que ceux de Jean. Même chose pour ses biceps. Pas de doute à avoir, ce ne peut être Jean. Mais cette carrure me dit quelque chose. Son odeur m’est familière aussi. Qui cela peut-il bien être ? Il ne me reste plus qu’à toucher son visage pour identifier l’homme ; une barbe naissante, une mâchoire carrée, un nez saillant… Mes mains restent paralysées, mon cœur bat la chamade. Je retire violemment mon bandeau pour vérifier mes craintes. Oui, c’est bien lui : Alexej est là, un sourire carnassier sur les lèvres ! — Bonsoir, petite sœur. Félicitations pour ton mariage, et désolé pour mon retard. — Surprise ! crie jovialement Jean dans mon dos. — Je… je… J’en reste sans voix. — Je savais, même si tu ne le disais pas, que tu attendais ton frère impatiemment, explique Jean. J’ai mis en scène son arrivée pour te faire la surprise. Les larmes me montent aux yeux. Je ne sais pas exactement ce qu’il m’arrive. Un torrent d’émotions contradictoires m’envahit : joie, peur, colère, excitation, dégoût… Il est enfin là ! Merde ! — Allez, dans mes bras, ma petite sœur adorée ! me lance Alexej. Je joue le jeu pour ne pas décevoir Jean. Mon frère me serre contre lui, contre son corps puissant, ce corps qui m’a par le passé imposé sa volonté. Son odeur m’envahit les narines. La douleur dans mon ventre se réveille et se met à me brûler. Après de trop longues secondes, il me libère enfin de son étreinte. — Tu es finalement venu… réussis-je à ...