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Séduction délicate de la soeur de ma mère (23)
Datte: 07/01/2021, Catégories: Inceste / Tabou
... balayant ses mèches blondes derrière ses oreilles. — Patrick même si c’est un compliment, ça reste gênant de t’entendre me dire de telles choses et en plus tu me compares à des filles de ton âge. Ca ne te dérange pas notre différence au fait ? S’interrogea-t-elle en accordant ses lèvres aux miennes à chacune de nos phrases. — C’est le pied tu veux dire, le pied de te voir te raidir avec la bouche ouverte. C’est le top de donner un orgasme à ma tante ! — Euh... oui en effet je suis ta tante qui a qui tu donnes des orgasmes mais j’ai l’impression de rêver quand j’entends ça sortir de ta bouche…et en plus c’est vrai. Enfin moi je ne vois pas tellement notre différence parce que tu es très mûr pour ton âge mais bon ta vieille tante se répète. Ironisa-t-elle en m’embrassant une énième fois. — T’as un look de trentenaire ! Dans 20 ans tu seras toujours autant folle à baiser Véronique et n’oublie pas que tu restes mon fantasme absolu, mon fantasme d’ado ! — Oui je suis ton fantasme mais je me tape le fils unique de ma sœur, par moment je n’en suis pas si fière…toi t’es bien mieux que mon fantasme, t’es devenu l’homme avec qui je partage ma vie dorénavant. Dit-elle songeuse à nouveau. Le lendemain je partis de bonne heure et Véro en suivant mes recommandations arriva à neuf heures précises. Elle était vêtue d’un pantalon moulant avec des bottines ainsi qu’un col roulé bleu ciel. Personnellement, je la trouvai ravissante et au regard de la gent masculine présente, j’en déduisis que ...
... certains partageaient amplement mon avis. Très vite Richard lui donna les directives pour s’occuper des relations franco-allemandes et elle s’affaira à sa tâche. Nous avions convenu, non pas de nous éviter mais simplement d’avoir une certaine distance vis-à-vis du personnel. Moi-même j’avais une petite jeune en tant qu’assistante, pas mal foutue à vrai dire. Pour les repas du midi, un petit self faisait l’affaire et la majeure partie du personnel s’y rendait habituellement. La Zusu Company regroupait les deux derniers étages de la tour et à nous tous, nous n’étions pas loin d’une centaine de personnes et plus de la moitié était des étrangers. La langue officieuse de la boite était l’anglais et l’implantation à Hambourg ne relevait pas du hasard du fait de son port gigantesque, atout primordial pour réceptionner nos importations venues du Japon. La première semaine s’écoula tranquillement et Véro prit ses marques comme elle s’était plu à me le dire dans d’autres circonstances. Les garçons avaient rencontré leur père et d’un commun accord comme par le passé, il les prenait une semaine sur deux. Finalement l’entente entre Jacques et ses enfants ne posa pas les problèmes qu’Oscar redoutait. Leur belle-mère Christine, quoique pas encore mariée se montra avenante selon leurs dires. A chaque fois qu’ils partaient une semaine chez leur père, nous vivions dans la hantise d’une gaffe de l’un ou l’autre, mais les mois de février et mars nous amenèrent une tranquillité relative avec aucune ...