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Séduction délicate de la soeur de ma mère (23)
Datte: 07/01/2021, Catégories: Inceste / Tabou
... inférieure. — Oh c’est trop bon, j’ai une envie de te baiser ma Tatie. En lui dégageant le front. — Hummm…tu me baiseras ce soir… Souria-t-elle en haussant les sourcils pour effleurer mon sexe avec sa bouche en vraie allumeuse. Le rouge à lèvres s’était fait la malle et lorsque Véro enfourna à nouveau ma verge reluisante de sasalive, elle me jeta un regard telle une gosse avalant son précieux quatre heures. Elle me suçait avec minutie, prenant soin de bien coller ses fantastiques lèvres sur mon sexe se faisant de plus en plus puissant. Sentant le fruit de son œuvre aboutir, elle le garda au chaud en le pompant avec douceur. Le corps crispé, je ne pus contenir mon enthousiasme. — Oh Véro ! Oh tu sais y faire. En restant plaqué contre la porte. — Je prends soin de mon neveu. Dit-elle en saisissant mon sexe avec ses doigts de pianiste pour lui faire prendre l’air. — C’est fabuleux, n’arrête plus. Lui ordonnai-je en balayant ma main dans sa chevelure blonde. — Oui je continue. Ajouta-t-elle d’un ton serein en le dirigeant à nouveau avec ménagement aux abords de ses lèvres gourmandes. Je n’étais plus le boss. Véro avait les paupières closes et suçait posément mon gros pénis. Doucement elle fermait et ouvrait sa somptueuse bouche à chacun de mes spasmes, avalant gorgée par gorgée ma jouissance le tout dans un calme olympien. Ma tante me pratiquait une fellation insensée et même si ce n’était pas la première fois, je restais à chaque fois stupéfait face à sa dextérité et à sa façon ...
... de le faire avec amour. Une fois l’orage passé, elle accola ses lèvres sur la pointe de mon sexe, vaincu, épuisé, possédée par sa femelle transformée en une mante religieuse. Puis dans un dernier élan, elle goba son bien pour le sucer à nouveau sans me cacher le pur plaisir qu’elle éprouvait. J’en déduisis une énième fois que ma tante était une suceuse hors pair, inclassable tant elle se délectait de l’effectuer son mon humble personne. Je ne tenais plus sur mes jambes et ce fut Véro qui en se relevant prit mon pantalon par la même occasion. D’un geste rapide elle s’essuya la bouche et tira sur sa jupe, un peu froissée. Elle tenta de se recoiffer sans succès et avant de partir me lança ses quelques mots. — Hum hum…Patrick je vais aller travailler et reste un peu dans ton bureau, tu es rouge comme une pivoine ! — A qui la faute ? Ironisai-je en reprenant place. Elle me fit ses yeux de biche en guise de réponse. L’après-midi fut dédiée au travail et non aux galipettes trop risquées au goût de ma tante. Le soir nous partîmes pour diner chez Jacques, laissant notre fils dans les bras de sa baby-sitter rassurante. Sans connaitre cette fameuse Christine, Oscar me l’avait décrite comme une personne arrogante, sûre d’elle et de sa beauté face aux hommes. Il la trouvait aussi belle que sa mère en beaucoup plus jeune, ah le tact des enfants… Durant le trajet ma tante en profita pour se remettre un peu de poudre et du rouge à lèvres, sans évoquer ce qu’elle m’avait fait dans la journée. ...