1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (23)


    Datte: 07/01/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... avec elle et au fond, c’était presque autant excitant que de la sauter. Repus, exténué je m’affalai sur le fauteuil d’en face. Véro gonfla ses joues pour reprendre son souffle et se recroquevilla sur le canapé. Dans sa position fort érotique avec ses jambes repliées, elle exprima son ressenti. — Oh tu ne m’en veux pas mais j’ai dit des gros mots, ce n’est pas dans mes habitudes et je ne savais plus où j’en étais…j’espère que ça ne t’a pas choqué Patrick ? En prenant un ton enfantin. — Non mais tu as eu un bel orgasme, qu’est-ce que tu as pu gémir Véronique ! C’était cool à entendre. Lui dis-je en observant ses épaules graciles. — Han c’était à ce point ! En plus faut dire que tu n’y es pas allé de main morte, ça faisait un bout de temps que tu avais envie de me prendre par-derrière…et je dois dire que tu es extrêmement doué en la matière. En passant machinalement sa main dans ses mèches blondes. — Merci mais je dois t’avouer que tu es une formidable baiseuse, on est dans une sacrée alchimie tous les deux quand on baise. — Euh oui enfin tu emploies de ces termes avec moi, ça me choque à chaque fois de t’entendre me parler ainsi…maintenant si tu le dis, c’est que je suis à la hauteur…tu sais avec toi c’est plus facile pour moi d’extérioriser mes sentiments, avant je n’y arrivais pas. Tu penses déjà à Paris ? Demanda-t-elle inquiète. — Oui et ça ne va pas être de la tarte, je pressens qu’il va se passer quelque chose. La remarque de ma mère me turlupine, si elle trouve que je ...
    ... passe plus de temps avec toi qu’avec ma pseudo copine, c’est qu’elle se doute que ça ne tourne pas rond. Tu vas voir qu’elle va te prendre à part et te cuisiner à notre sujet. — En plus tu ne seras pas là, oh ça m’angoisse et si elle l’apprend ? Patrick je ne saurais plus où me mettre. En triturant une de ses mèches. — N’oublie pas que nous bossons ensemble et que ça crée des liens, n’en démords pas et surtout tu n’avoues rien. Lui conseillai-je d’une voix ferme. — Oui tu es de bon conseil. Patrick on va monter se coucher et voir notre fils ? Dit-elle en se levant sans prendre la peine de mettre son chemisier. — Wouah tu te balades à poil devant moi ! — Avec ce que l’on vient de faire… Me rétorqua-t-elle. Véro se coucha aussitôt pour ronfler copieusement. Ma mère n’était pas née de la dernière pluie et cette fameuse remarque n’était pas anodine. Il se tramait un truc, un machin, un bidule… Je n’avais pas osé en parler à Véro, mais ma mère m’avait également fait une remarque du même genre à notre sujet. Elle m’avait balancé de but en blanc - mais vous êtes tout le temps fourrés ensemble, on dirait que Véronique ne peut plus se passer de toi ! -. Ce à quoi j’avais répondu selon l’expression, noyer le poisson, en parlant d’une proximité dite matérielle quant à mon linge et du fait que nous habitions à deux niveaux d’intervalle. Peu convaincant comme arguments. Peut-être que Véro avait la trouille de sa grande sœur, de se faire engueuler d’avoir couché avec son fils unique et ...