1. Mamie Geneviève (16)


    Datte: 07/01/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... tutoiement et lui réponds dans un souffle: — C’est délicieux ! — Ouvre ton chemisier … — Ici ? — Personne ne verra rien ! Ne t’inquiète pas Je défais deux boutons à mon chemisier et n’attends pas longtemps pour sentir sa main se faufiler et reprendre un pétrissage intense de ma poitrine qui manque de me faire défaillir. Ma voisine me souffle : « Ça serait mieux si tu quittais ton soutien-gorge. Va aux toilettes te mettre à l’aise, c’est au fond de l’appareil, je t’attends » Je réajuste mon chemisier alors qu’elle se lève pour me laisser passer. Rouge d’émotion, j’arpente l’allée et croise le regard inquiet de la petite rouquine qui m’avait aidée à porter mon sac. Arrivée aux toilettes, je quitte mon chemisier et défais mon soutien gorge. Je regarde ma poitrine dans la glace et suis fière qu’à mon age elle se tienne encore si bien. Je profite du lieu pour tamponner la cyprine qui s’écoule de ma chatte avec du papier hygiénique. Je me rends compte trop tard que j’aurais dû prendre mon sac à main pour y cacher mon soutien-gorge. Tant pis, je le serrerai contre moi en retournant à ma place, j’espère être discrète. Alors que je sors des toilettes, je tombe nez à nez avec la gentille petite rouquine qui me demande sur un ton inquiet : « Tout va bien madame ? » Son regard se pose sur ma poitrine, puis sur la main qui tente de cacher le soutien-gorge. Elle esquisse un sourire, se tourne et se déplace de quelques pas pour prendre un sachet en papier dans la pochette d’un siège vacant. ...
    ... — Tenez madame, mettez-le là dedans … Elle me tend le « sac à vomis », dans lequel je glisse mon dessous, toute honteuse d’avoir été surprise. Je bafouille : — Appelez-moi Geneviève. Je vous suis redevable une nouvelle fois! — Enchantée Geneviève, moi c’est Mélanie. — Me permettez-vous de vous faire une bise pour vous remercier de tout ce que vous faites pour moi ? — Avec plaisir ! Mélanie me tend sa joue et j’y pose mes lèvres, elle se met à rougir d’émotion et m’enserre dans ses bras d’un geste spontané et incontrôlé, avant de se reprendre pour s’excuser d’avoir agit ainsi. Ce bref mais puissant contact me trouble et la fièvre me gagne à nouveau, à mon tour je cherche à l’enlacer. Elle n’est pas dupe de mon état fébrile et me repousse délicatement. Je lui demande : — Eh bien Mélanie ! Pourquoi vous intéressez-vous à une vielle dame comme moi? — Parce que je vous observe depuis le décollage, votre voisine est entreprenante, n’est-ce pas ? — Vous l’avez vue faire ? — Bien entendu et je ne dois pas être la seule ! — Mais pourquoi m’observiez-vous ? — Vous ressemblez tellement à quelqu’un à qui je tiens beaucoup, une femme en l’occurrence. Je me sens moins gêné pour vous le dire, depuis que j’ai constaté que vous appréciez les caresses de votre voisine. J’en déduis que vous aimez les femmes, vous aussi. Je me dis que ça doit être gravé sur mon front, un truc du genre : « Mamie à baiser » ou « vieille en chaleur » et mes joues s’empourprent de honte. Elle enchaîne en souriant : ...
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