Zwitter
Datte: 08/01/2021,
Catégories:
Anal
Transexuels
... plus mon émoi. Elle m’entoure de ses bras graciles, se presse contre moi. Ma roideur devient douloureuse et elle a bien compris la nécessité d’une action urgente. La voici à genoux m’offrant sa bouche accueillante. Une véritable merveille, sans me connaître elle sait déjà presqu’aussi bien que toi me faire plaisir. Tu la rejoins et toutes deux vous relayant vous vous ingéniez à alimenter un peu plus mon désir. Mais on ne dira pas de moi que je suis un homme égoïste. A cette caresse buccale, je me dois de proposer la réciproque. Aussi, une fois la belle assise sur le canapé, me penche-je sur ses seins découverts. Je suce tour à tour ces fruits délicats. De ton côté, tu n’es pas en reste, distribuant force caresses et baisers. Mais il me faut viser plus bas.M’apprêtant par habitude à trouver céans ce que la nature nous offre de concavité rassurante, je sursaute à la vue d’appâts beaucoup plus virils que prévus. Une superbe verge cachée là, opprimée par l’étroitesse du slip et qui bondit fièrement hors de sa prison, déjà à moitié érigée. Divine surprise que tu me fais ainsi, de m’offrir un autre ange, bien bisexué, lui. J’ose à peine toucher la chose tant elle me parait incongrue. Allons, Michèle si féminine, aux seins d’aspect si naturel, sans adjuvants plastiques, à la taille étroite, aux fesses voluptueuses et aux jambes si fines… Tu m’as bien berné. Mais sans plus attendre, je dois observer de plus près l’organe incongru. Je m’agenouille à ses pieds. Epilé, beaucoup plus ...
... lisse qu’un sexe de femme – tout en plis et replis, lui – tant dans l’aérodynamisme tubulaire, que vient à peine perturber une veine palpitante, que dans la rotondité féconde de besaces que je devine lourdes. Je me décide à toucher la bête qui s’avère plus douce que je ne le craignais au premier abord. Personne ne proteste, je m’enhardis, glissant la main entre le slip et la peau. Je palpe une tension comparable à la mienne que mes lèvres tentent d’apaiser. Toi aussi, tu veux goûter cette chair affolante et, dans le ballet de nos visages, nous échangeons des baisers.Michèle debout me tourne le dos. Après application d’un onguent et d’une protection adéquate, je franchis voluptueusement le portail de ses reins. Elle est étroite et me tient puissamment, comme dans un étau. Ainsi je la possède mais elle me possède également en m’enserrant ainsi. Tu es bientôt lasse des baisers et, les jambes en compas, le sexe offert dévoilant toute la roseur des chairs humides, tu réclames en termes crus une pénétration exemplaire. Dans l’état actuel, je ne peux te contenter que par procuration et ce n’est pas sans difficulté que nous manœuvrons jusqu’à ce que le piquet tendu de notre partenaire de débauche te procure cet empalement désiré. Avec la plus grande lenteur et les plus grandes précautions nous nous animons tous trois en cadence. Toute cette luxure t’embrase et par un cri tu nous assures de ta jouissance. Loin de t’apaiser, ce premier orgasme stimule ton imagination. Tu exiges que je te ...