Mon amant du train
Datte: 09/01/2021,
Catégories:
Anal
Gay
C’était la rentrée, après l’aïd el kébir (sacrifice du mouton)Les trains rapides, qui menaient de Rabat à Casablanca, redevenaient bondés le matin pour aller au travail. J’étais debout, près de la porte opposée à celle qui donne sur les quais. J’étais pénard avec mon bouquin. Quand le train est arrivé à une station, les personnes se sont encore tassées et nous étions collés les uns aux autres. Il y avait maintenant un homme dernière moi à qui je n’avais pas fait attention. Après quelques lignes de lecture, je sentais qu’il était très proche. Mais ensuite, j’ai senti autre chose. Son bassin s’était collé au mien, alors qu’on n’était pas si serrés que ça. Pourquoi pas. Puis c’est sa main qui est venu contre mes fesses. Ok. Enfin, c’est une érection bien avancée que je sentais. Il se serrait contre moi et surtout me serrait contre lui avec sa main sur mon ventre.N’étant plus d’humeur à lire, je lui ai fait comprendre, d’un mouvement de bassin, que son manège ne m’était pas indifférent. C’était une bonne rentrée. Ça a continué jusqu’à ce qu’il me glisse très doucement à l’oreille :- Tu as l’air d’aimer !Pour toute réponse, je lui ai pris la main et l’ai mise sur ma bite, et à travers le pantalon, il devait sentir mon érection. Il a massé mon pénis suffisamment doucement pour que ça me frustre qu’il ne continue pas. Puis il a murmuré :- Actif ou passif ? Vicieux, romantique ?Encore une fois, j’ai pris sa main et l’ai placée sur mes fesses puis j’ai mis ma main dans son pantalon à ...
... la recherche de son zob. Aussi, il comprenait que c’était surtout par là que j’aimais, et que je n’étais pas farouche. Il a alors pris mon livre, sorti un stylo de sa veste et a écrit son numéro de téléphone. Au cours de la journée, je lui ai écrit et il m’a invité chez lui pour le soir même. J’ai du avoir une érection quasi continue toute la journée, en pensant à cet homme qui m’excitait.Une fois chez lui, il s’est approché de moi. Il avait un regard très perçant, lubrique. Il savait ce qu’il voulait et ses gestes pour me déshabiller, de la cravate au caleçon, étaient précis. Sans préliminaire, il m’a fait m’agenouiller. J’ai alors appréhendé son zob à travers le costume. J’ai ouvert la fermeture éclaire et sa queue m’est apparue, il ne portait pas de caleçon. Sa queue était rasée, longue, fine. Le gland était assez large. J’ai senti son zob, je l’ai léché avec ma langue comme une glace puis je l’ai pris dans ma bouche. Il avait très bon goût : l’odeur forte d’une journée de travail, virile. C’était donc très agréable de le sucer. Ça devait l’être pour lui aussi car il commentait (tu suces bien mon pédé, passe ta langue sur mon gland, suceur de 1ère classe…).Il imprimait un rythme soutenu et je devais lui tirer les bourses pour qu’il ralentisse. J’étais très excité par cette bite et un petit filet de liquide séminal perlait déjà de ma queue en érection.Après, il m’a mis à 4 pattes. Cambré, le cul en l’air et les fesses écartées, prêt à me faire sodomiser à même le sol. Pas ...