1. Nous deux, Mary et Pierre (1)


    Datte: 09/01/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... Mary ne me regarde plus comme une mère, mais comme une femme qui cherche quelque chose, comme si elle voulait me séduire ! Si elle savait que je suis déjà et depuis longtemps sous son charme !... Je la désire, mais je n’oserais lui avouer. Un orage commence à gronder, maman n’est pas rassurée, elle a une peur bleue des orages. Je la taquine, je me moque, elle me dit d’arrêter et souhaite que nous rentrions. Une fois à la maison, nous regardons la télé. Elle se colle contre moi, et plus l’orage gronde, plus elle se colle à moi. Son bras sur mon torse, ses doigts me caressent le ventre tendrement, j’ai l’impression d’avoir une femme amoureuse contre moi. Je reste sage mais ça me démange de la caresser moi aussi. Je suis fou amoureux de maman, et ça depuis l’âge de comprendre ce qu’est le sexe. L’orage gronde de plus en plus et maman n’est pas rassurée mais elle me dit « je vais me coucher et essayer de dormir malgré l’orage ». Il est vrai qu’il fait une chaleur à crever, une chaleur moite. Moi aussi je vais me coucher. Je me mets à poil tellement il fait chaud et prends un bouquin, je n’ai pas envie de dormir. La foudre vient de tomber pas loin de la maison. Quelques secondes après, on toque à la porte, je tire le drap sur moi et je dis « entre ! » Elle se tient dans l’encadrement de la porte en nuisette transparente, je devine sa fabuleuse poitrine et sa jolie minette finement taillée. Elle a libéré ses cheveux. Elle me demande « je peux dormir avec toi ? J’ai trop peur ...
    ... mon chéri ». Je tire le drap, elle voit ma nudité, elle me sourit, se couche à côté de moi et me dit « merci mon amour je me sens plus rassurée ». Nous voici couchés sur le côté, face à face. Elle se rapproche de moi de plus en plus, elle pose sa main sur mon flanc et me caresse tout doucement. Boum ! Encore une fois la foudre tombe, maman sursaute, on se retrouve dans les bras l’un de l’autre, on se regarde dans les yeux, nos bouches sont à quelques millimètres l’une de l’autre. Et là, je prends pour une fois l’initiative : je pose mes lèvres sur les siennes. Mary ne me repousse pas, on se bécote longuement, et puis nous ouvrons tous les deux nos lèvres, nos langues jouent une grande sarabande, et ça dure une éternité… Je sens ses tétons qui pointent, je les presse contre mon torse. Ma virilité a bien sûr réagi, j’affiche une trique d’enfer, et je sens que maman mouille énormément. Je ne veux pas précipiter les choses, prendre notre temps, être doux, très doux, nous sommes tous les deux sur la même longueur d’onde. Nous nous embrassons toujours à perdre haleine, nous sommes en apnée, à bout de souffle, nous nous voyons obligés d’arrêter notre baiser fougueux. Maman me regarde avec son sourire de biche, elle me prend le visage dans les mains, et me dit « je t’ aime mon amour », je lui réponds « moi aussi ma chérie ». Je lui enlève sa nuisette, je vois son corps entièrement nu, elle est superbe ma Mary !... Et je reprends mon activité, je lui lèche, mordille les tétons, elle ...