Plaisir personnel... ou presque
Datte: 09/01/2021,
Catégories:
ffh,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
... D’ailleurs, je suis sûr que ça ne lui déplairait pas de se caresser devant toi là tout de suite… N’est-ce pas chéri ? Je ne savais comment réagir et ma queue tout à l’heure si gonflée se fit bien discrète d’un coup. J’allais classer tout cela au rayon du délire quand Fabienne me regarda droit dans les yeux et me dit : — Tu ferais ça pour moi ? Mais moi je ne te touche pas, j’observe et j’apprécie. Ma foi, parti pour parti… — OK, répondis-je, mais il faut me motiver un peu. Parce que là, tout de suite, ça m’a un peu coupé dans mon élan… À ces mots, tu te lèves et viens m’ouvrir la braguette. Tu plonges la main à la recherche de mon sexe que tu réveilles doucement d’un tendre va-et-vient. Ton regard plonge dans le mien, comme pour me dire ton excitation à vivre un moment débridée. Le point de non-retour est franchi. Me voilà assis devant Fabienne, me branlant calmement. Elle, de son côté, s’installe confortablement avec un verre à la main. La situation étant assez troublante, mon érection remontait lentement. Je faisais de lents aller retour avec le bout de mes doigts pendant que, de la main gauche, je me caressais les couilles. Les petits rires un peu gênés du début laissèrent la place progressivement à une ambiance très intense. Fabienne, feignant d’être très à l’aise, était trahie par sa respiration. Je la voyais inspirer de plus en plus profondément et ses yeux ne quittaient plus mon sexe, de plus en plus fièrement dressé. J’observais sa main libre venir lentement sur ...
... ses seins. Du bout des doigts, elle en effleurait le contour. De mon côté, j’empoignai maintenant fermement ma queue et je tirai de plus en plus profondément sur ma peau à chaque mouvement, toujours lentement. Mon gland apparaissait un peu plus à chaque fois. Une douce chaleur montait de mon bas-ventre, promesse d’un plaisir à venir particulièrement intense… D’un coup, je décalottais complètement. Cette apparition s’accompagna d’un gémissement de surprise de Fabienne. Elle se tortillait sur le canapé. Je pris un certain plaisir à rester comme cela quelques instants, le sexe et le regard pointés vers elle sans bouger. Sa bouche s’entrouvrit dans un profond soupir, elle posa son verre et glissa sa main dans son jean. De son côté, tu te levas, me pris par la main et m’incita à m’approcher du canapé. D’aussi près, la tension sexuelle devenait presque palpable… De voir mon gland turgescent si près d’elle fait monter encore l’excitation de Fabienne. Sa respiration est lourde, ses mouvements plus nets. Qu’elle se caresse ainsi devant moi sans rien voir pourtant me plait beaucoup. D’autant que c’est tout l’inverse pour moi. Mon érection est désormais maximale. Je sens mon sexe palpiter dans ma paume comme s’il vivait librement. Ma masturbation avait repris. Je recouvrais mon gland à chaque passage pour mieux le redécouvrir l’instant d’après. Un nouveau plaisir s’y ajouta quand tu glissas très tendrement ta main sous mes couilles pour une caresse très légère, qui se prolongeait sur ...