1. Amsterdam (troisième partie)


    Datte: 24/10/2017, Catégories: Hardcore, Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... fait fort : une mini-jupe ras la moule et des bottes cuissardes... Une vraie salope ! Quand à moi, j'avais répété les vêtements de la première soirée catastrophique ; sauf que j'avais mis une bonne veste. La grande différence avec d'autres villes : les coffee-shop ! J'étais déjà bien guillerette à la sortie du restaurant italien, avec les presque deux bouteilles de lambrusco que Monique et moi (François ne buvait pas) nous étions enfilées, alors, le shit afghan que nous avions fumé dans un coin sombre d'un de ces cafés, m'avait laissée dans un tel état d'ivresse que mon esprit n’obéissait à rien d'autre qu'à mes pulsions les plus primaires. C'est bien pour cela que quand Monique s'était mise à me déboutonner la blouse devant son maître-chauffeur, je ne pus faire autre chose que pouffer de rire :Arrête, fofolle ! On peut nous voir !Regarde, François, quelle belle paire de miches ! S'exclama Monique, tandis que je faisais de mon mieux pour me recouvrir.Macarelle ! Non, non ! Ne me cache pas cette belle vision !Que m'en dis-tu, mon étalon, si on rentre à l hôtel et on s'occupe de Sœur Sandra ?J'ai une meilleure idée, les filles !Et ainsi fut que nous arrivâmes à cet antre de perdition...Tu ne risques rien, Sandra... Vous êtes avec moi... Tu verras, tu vas t'éclater !Entrons, d'une fois pour toutes ! La lumière est au vert ! Conclut Monique en me poussant vers la porte de la cabine.Je n'avais jamais vu rien de similaire, si ce n'est que dans des vidéos ; mais, même, la réalité ...
    ... dépassait largement la fiction. Une pièce de dimensions réduites, sombre à souhait, sans aucune décoration. Des coussins en simili-cuir, noirs, éparpillés par terre. Les murs de la cabine, tous sauf celui de la porte, étaient traversés de plusieurs fentes horizontales d'à peu près deux centimètres de largeur. Il ne fallait pas être une éminence pour comprendre qu'à travers ces fissures, les personnes situées de l autre coté des murs pouvaient regarder en tout anonymat ce qui se passait dedans.Mais ce n'était pas tout. Les deux parois latérales étaient perforées de plusieurs trous circulaires, tels des hublots, à des différentes hauteurs. Un glory-hole. Les salauds m'avaient emmenée dans un putain de glory-hole !Deux haut-parleurs remplissaient l'espace de bruitages divers : soupirs, cris, gémissements, geignements... Et une odeur impressionnante de sexe, de sperme...Qu'est-ce que c'est que ce cirque ! Criai-je pour me faire entendre. Mais un petit rire nerveux trahissait mon état d'excitation.Que le show commence ! Dit François, tel un maître de cérémonies. Il pressa un interrupteur et une lumière rougeâtre inonda la pièce.En plus, il faut hyper chaud ! M'exclamai-je.Monique fut la première à se déshabiller, laissant uniquement sur elle, les bas résilles. Elle s'approcha de moi et m'embrassa sur la bouche. Je ne tardai pas à sentir sa langue cherchant la mienne. Et ses mains glissant sur mon dos, descendant vers mes fesses.Déshabille-toi, Sandra, m'ordonna-t-elle.Nom de Dieu ! ...