Moi, Aline, Shemale (3)
Datte: 09/01/2021,
Catégories:
Transexuels
Carine et moi étions officiellement en couple en commençant nos études. Nous nous affichions comme étant lesbiennes. Ce qui nous valait évidemment nombre de remarques de la part des garçons qui trouvaient dommage que deux jolies filles soient inaccessibles pour eux. Parfois c’était bon enfant, parfois lourd. Mais nous avions de la répartie, ce qui en a calmé plus d’un. Pendant nos études, nous nous étions liées d’amitié avec deux autres jolies filles, Stephi, une petite blonde pulpeuse, et Tania, un grande rousse fine, mais avec de belles formes. Nous étions les meilleures de la promotion. Ce qui énervait certains de ces messieurs, surtout que nous étudiions l’informatique... Nous étions amies depuis 2 ans quand Stephi et Tania se mirent en couple. Elles nous disaient qu’elles avaient suivi notre exemple, elles nous trouvaient décomplexées et battantes, elles aimaient notre façon de voir la vie. Comment vous dire que les quatre plus jolies filles de la promotion intouchables par les hommes, ça en énervait plus d’un... À la fin de nos études, nous avions fait une grande fête. Au cours de cette fête très arrosée, un pari entre Carine, Stephi et Tania fit que nous avions fini en nous galochant toutes les quatre. Cette situation nous a tellement excitées, Carine et moi, que le retour à notre appartement fut une longue route de caresses et de roulage de pelle. Nous avions pris un taxi pour rentrer. Dans le taxi, nous nous caressions et nous embrassions tant et plus. Après avoir ...
... failli avoir deux accidents, le chauffeur était parfois plus attiré par le spectacle sur la banquette arrière que par la route... nous arrivâmes enfin chez nous. Nous mîmes longtemps à monter nos trois étages, car entre les caresses, les baisers et le fait que nous étions bien éméchées, les escaliers étaient une épreuve digne des JO. Sur le palier, nous étions tellement excitées que nos chemisiers étaient ouverts, nos poitrines sorties de nos soutiens-gorge, nos jupes troussées et nos strings écartés révélant nos sexes. Carine avait la chatte dégoulinante et moi ma queue était droite comme un i et gonflée comme rarement. À peine la porte franchie et refermée, nous nous débarrassâmes de nos vêtements et je pénétrai Carine debout contre la porte. Elle était tellement excitée que rien que la pénétration de ma queue dans sa chatte la fit jouir. J’attendis qu’elle se calme un peu et entamais un va-et-vient profond, en l’embrassant pour essayer de la faire taire car elle continuait à crier sa jouissance tant et plus. Je ne pus me retenir bien longtemps et jouis à mon tour en m’enfonçant profondément en elle, pendant qu’elle criait son bonheur. Nous allâmes nous coucher, fatiguées par la fête et notre baise intense. Au matin, j’étais en plein rêve érotique, je sentais ma queue prise dans une cavité chaude et humide, un papillon me titillait le gland et le méat, augmentant encore mon excitation, quand soudain, je jouis. Mon éjaculation me réveilla et je me rendis compte qu’en réalité, ...