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Surpris et pris par... (9)
Datte: 10/01/2021, Catégories: Inceste / Tabou
... décida d’écouter un peu de musique pour faire passer le temps au lieu d’aller épier la conversation des deux femmes. Aux environs de 21h, Jérémie reçut la visite de sa tante. — Ta mère et moi comptons aller marcher un peu dans la forêt. Cela nous ferait évidemment plaisir si tu acceptais de venir avec nous. — Bien sûr, Tata. Ça me ferait vraiment plaisir. Je me change et j’arrive. — Non, inutile de te changer. Tu viendras avec nous comme ça. Et au fait, je préfère que tu m’appelles Alice. Tata, ça fait un peu gamin de cinq ans, je trouve. — D’accord, Alice. Sur ces dernières paroles, Jérémie sortit de la maison en compagnie des deux soeurs. Durant tout le trajet qui les menait à la forêt, le jeune homme ne cessait de jeter des regards inquiets autour de lui en espérant que personne ne le voie dans le plus simple appareil, ce qui eut pour effet de faire sourire sa mère et sa tante qui ne manquèrent pas de le charrier. — Je t’ai dit qu’ils étaient tous partis en vacances, Jérémie. Personne n’aura le plaisir de voir ta petite bite. — Et même si quelqu’un te voit, dis-toi que ça pourrait mettre un peu de piment dans ta vie d’esclave. Le jeune homme décida de ne pas répondre aux railleries de Jeanne et Alice. Tandis qu’ils continuaient de cheminer vers la forêt, un détail sauta aux yeux de Jérémie : les deux femmes avaient chacune apporté un sac à main. Il se demanda pourquoi sa mère et sa tante auraient eu besoin de prendre leurs sacs pour une balade en forêt mais il se garda ...
... de les questionner, ne voulant pas les offenser par une question indiscrète. Au bout de dix minutes de marche, Jérémie et les deux soeurs parvinrent à l’entrée de la forêt. Ils cheminèrent encore durant cinq minutes environ puis s’arrêtèrent devant un arbre au tronc fin. Jeanne et Alice posèrent leurs sac à terre. — Nous allons faire une petite pause ici. — Mais il n’y a aucun banc ou tronc sur lequel s’assoir ! — Ce n’est pas pour nous assoir que nous nous sommes arrêtés ici. En prononçant ces dernières paroles, Jeanne sortit une paire de menottes de son sac. — Je te présente ma nouvelle acquisition. Si ta tante et moi t’avons proposé de venir avec nous, c’est précisément pour la tester. Mets-toi à genoux devant ce tronc d’arbre et tiens-le. Jérémie s’exécuta sans broncher tandis que sa mère passait les menottes autour de ses poignets et du tronc d’arbre sous le regard pétillant d’excitation d’Alice qui avait commencé à se déshabiller. Pendant que sa soeur se faisait copieusement lécher le derrière par le jeune homme, Jeanne se dévêtit à son tour et prit place aux côtés d’Alice. En sentant les mains de sa tante tourner son visage vers le fessier de sa mère, Jérémie comprit que les deux femmes souhaitaient qu’il leur lèche le postérieur. Dans sa position inconfortable, le jeune homme s’appliqua tant bien que mal à procurer un maximum de plaisir aux deux femmes par ses coups de langue. Lorsqu’il parvint pour la il ne savait pas combientième fois au fessier d’Alice, celle-ci se ...