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À la découverte de l'autre
Datte: 10/01/2021, Catégories: f, ff, Collègues / Travail cérébral, BDSM / Fétichisme Oral nopéné, initff,
... cédaient les défenses installées depuis la nuit des temps. Sans s’en rendre compte, elle s’abandonna encore plus en se décontractant à demi allongée sur la table, ses bras allèrent le long de son corps et ses jambes imperceptiblement s’écartèrent. Gênées par la jupe étroite elles furent cependant entravées. Une douce chaleur commençait à irradier vers son intimité. Patricia mit ses mains sur la poitrine de Julia et malgré les barrières de tissu, ses seins prirent cette caresse comme si plus rien ne les voilait. Un à un les boutons de son chemisier furent enlevés avec douceur et sans hâte. Même le meilleur de ses amants n’y avait mis autant de grâce. Quelle douceur dans le geste de Patricia qui, une fois le chemisier ouvert, put voir la poitrine de Julia encore défendue par son soutien-gorge ! En prenant les bonnets par le bas, elle les dégagea et les fit remonter au-dessus des seins. Elle ne se priva pas de le faire doucement, sensuellement en caressant le dessous de la poitrine. Des coups de langue autour des aréoles et sur les pointes achevèrent de mettre le feu dans son esprit et dans son corps. Les mains de Patricia prenaient la relève de la bouche et de la langue et les caresses furent un supplice pour Julia qui n’en pouvait plus de désir. D’autres baisers furent échangés, d’autres caresses furent prodiguées. Pas un mot entre les deux. Une communion silencieuse qui plaisait ainsi à Julia. Elle se laissait faire encore, partagée entre l’émotion de l’inconnu et le besoin ...
... d’en connaître encore plus. Que ses caresses sur les seins avaient été douces et combien elles avaient mis le feu et dans son corps et dans son esprit ! Ses jambes, ses hanches remuaient et appelaient à de nouvelles découvertes encore plus intimes et sans tabou. Patricia comprit l’invite et sans la forcer l’aida à relever son bassin. C’est de cette façon qu’elle put remonter sa jupe au-dessus de la ceinture pour ne plus présenter que son intimité pudiquement cachée par sa culotte. Libérée de toutes entraves, Julia put écarter ses jambes et attendit des caresses plus précises. Elles ne tardèrent guère, des mains se perdirent sur l’intérieur de ses cuisses et arrachèrent des frissons annonciateurs de grands bouleversements. D’elle-même, Julia se recula sur la table pour pouvoir mieux s’offrir en posant ses pieds à la même hauteur que son bassin. Patricia était en face d’elle et maintenant une de ses mains s’était posée sur la culotte et, à travers le tissu, dessinait la fente de ses lèvres. Un doigt passait et repassait sur le sillon de mieux en mieux dessiné. Ce n’était plus une caresse, c’était une torture. En vouloir toujours plus et ne pas oser le demander. Elle se sentait de plus en plus moite. Comment étaient ses dessous ? Trempés à coup sûr, mais cela se voyait-il de l’extérieur ? Elle ne savait pas si elle devait en avoir honte ou remplir de fierté Patricia qui méthodiquement passait et repasser ce doigt enchanteur. N’en pouvant plus, elle se souleva sur son bassin et ...