1. DialNet - Round 8


    Datte: 10/01/2021, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Inceste / Tabou

    ... pratique, il pousse des « ooooh » d’extase tout le temps où elle enfonce sa langue profondément dans son trou jusqu’à ce qu’il se remette à bander dur.Elle enlève alors son ceinturon des passants de son pantalon, se relève et se met de dos en écartant ses fesses d’une main puis le regarde par-dessus son épaule et abat le cuir sur sa raie des fesses, visant l’anus. Elle pousse un cri étouffé à chaque coup, les dents serrées, ses grosses fesses barrées par la morsure du cuir. Le serveur ne bouge pas, fasciné. Elle recommence une dizaine de fois, frappant de plus en plus fort puis se retourne, sort ses seins mous luisants de sueur du chemisier et lui tend le ceinturon. Hésitant, il fouette la poitrine offerte de la main droite sans oser trop appuyer ses coups tout en se masturbant de la gauche. « Cogne ! crache Truica, les narines dilatées, Fais-moi gueuler ! ».Comme si une sorte de verrou mental venait de sauter, il se déchaîne et abat le cuir de toutes ses f0rces. Truica hurle. Ses gros nichons mous virevoltent et sont rapidement marqués de larges stries rougeâtres sous lesquelles perle le sang. Abandonnant la ceinture, il la gifle à la volée. Une fois, deux fois, trois fois. Elle tente de le repousser alors il la frappe dans le ventre à coups de poings rageurs. Surprise et le souffle coupé, elle s’effondre. Sans cesser de se branler, il s’acharne maintenant à coups de pieds. Elle tente de fuir en rampant. Il la croche à nouveaux par les cheveux, descends sur ses cuisses et ...
    ... enfonce son sexe bandé à mort entre ses fesses d’un seul coup. Tout en la besognant rageusement, il prend ses mamelles lacérées à pleine main et les étire comme s’il voulait les arracher. Une minute plus tard, ahanant comme un chien, il éjacule à l’intérieur de son trou du cul éclaté.A ses pieds, les vêtements déchirés, Truica se relève péniblement. Ses grosses fesses sont gluantes de sperme et sa peau de blonde se vi0lasse déjà là où il l’a le plus sévèrement battue. Elle trébuche et il va pour l’aider mais elle le repousse, le visage tordu et vieilli par la souffrance, les cheveux en bataille.- Je suis désolé, commence-t-il, je ne sais pas ce qui m’as pris…- Ça va aller… souffle-t-elle.Alors qu’il reste debout comme un idiot, sa bite toujours bandée encore sortie, elle se rhabille de son mieux en gémissant. Elle ramasse son portable sur la table et le met dans son sac, lisse son tailleur crasseux et referme son chemisier aux boutons arrachés en le tenant d’une main pour cacher sa poitrine abimée, enfile péniblement son manteau puis se dirige vers la sortie. N’eut été ses collants déchirés, son visage dévasté au maquillage qui lui donne la tête d’un clown pathétique, le manteau cache à peu près correctement le reste des dégâts. L’homme la suit, hébété, toujours incapable de savoir comment réagir. Il déverrouille l’entrée et va pour s’excuser à nouveau mais elle farfouille dans son sac et lui donne un billet de 10€ puis dit - en tentant de sourire, la lèvre inférieure fendue et ...
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