Divine belle-soeur
Datte: 11/01/2021,
Catégories:
f,
h,
fplusag,
alliance,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
... et honnêtement, malgré l’excitation, je sentais ma position un peu ridicule. Françoise prit les choses en mains, et je lui en suis reconnaissant encore aujourd’hui. — Éric, tu es mal installé, je ne te vois pas. Mets-toi comme moi, tourne-toi vers moi… C’était fou… Je tournai le visage vers elle et, doucement, fis ce qu’elle demandait. Mes fesses s’enfoncèrent un peu dans le canapé, et je repliai doucement mon genou gauche, en ramenant ma jambe sur le canapé, comme elle… Nos deux genoux se touchèrent, divinement… Une onde de chaleur faillit m’emporter en un seul instant ! L’instant était magique… Je sentais la chaleur de Françoise rayonner sur ma jambe, au contact de son genou… C’était extrêmement fort même si, curieusement, le genou n’est pas la partie la plus terriblement suggestive du corps d’une femme, mais ce premier contact physique me transportait… Je n’osais quasiment plus bouger, et ma main s’était posée, par simple réflexe, sur le haut de ma cuisse et mon sexe, mais je n’osais pas reprendre mes mouvements. Françoise me regardait avec un sourire craquant, une lueur amusée également au fond du regard. Elle se redressa soudain et, avec un geste d’une absolue féminité, fit passer ses deux mains derrière son dos, et je vis la tension des bretelles du soutien-gorge cesser brusquement… Le mouvement délicat de ses bras, lorsqu’ils revinrent vers moi, fit bouger merveilleusement ses épaules, et je vis comme dans un rêve les bretelles blanches glisser sur la peau nue, et ...
... venir mourir dans le pli de ses bras… Un instant après, elle avait tendu les bras devant elle, et c’est avec une émotion infinie que je vis ses deux seins apparaître devant moi, lourds, légèrement tombants, merveilleux dans leur nudité. Ma main se crispa toute seule sur mon ventre, et mes doigts se refermèrent sur mon sexe tendu. Il était douloureux tant le désir l’arquait, la tension le brûlait. Françoise fit tomber le soutien-gorge en boule à nos pieds, et s’adossa en me regardant et en souriant. — Éric… ça te plaît ?— Françoise, tu es… merveilleuse. Tu es si belle… infiniment plus encore que dans tous mes rêves. Elle était visiblement heureuse de mes mots, et son désir semblait aussi vif que le mien… Je voyais ses yeux suivre les muscles de mes épaules, de mes bras, les mouvements de mes doigts… Elle sembla hésiter un instant… puis : — Au point où nous en sommes ! Vision hallucinante qui me hantera toujours. Vision magique, terriblement excitante, sans vulgarité, mais avec tellement d’impudeur ! Françoise resserre ses jambes doucement, les allonge devant elle, et je vois ses deux mains venir se poser à plat sur ses flancs, sur ses hanches, ses doigts si fins glisser sous l’élastique de sa culotte blanche… et commencer, sans hésitation, à la faire glisser. Mes yeux dévorent cette peau tellement rêvée mais jamais vue, la peau de son ventre qui se dévoile doucement… Les plis divins de la naissance de ses jambes, soudain quelques poils châtains… l’élastique se tend un peu, et puis ...