Complexe qui devient attrait
Datte: 11/01/2021,
Catégories:
fh,
ff,
jeunes,
couplus,
enceinte,
grosseins,
complexe,
vacances,
plage,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
entreseins,
Oral
pénétratio,
couple,
entrecoup,
fbi,
... vient me baiser. Il monta l’escalier quatre à quatre en ôtant ses vêtements et il est apparu nu, le sexe dressé comme un mât de cocagne prêt à me transpercer. Nous avons forniqué, nous avons niqué, nous nous sommes envoyés en l’air avec une rare frénésie et Alain me ramona le con qui était dégoulinant de mouille. Enfin, il déchargea en moi. Dans certaines circonstances, une baise comme celle-ci est une extase pour moi, et ce fut le cas ce jour-là. Puis nous avons refait l’amour lentement, en prenant notre temps, avec douceur et sensualité. Nous étions dans un autre monde, oubliant le temps et l’espace. Nous nous sommes revues, Sidonie et moi, mais toujours avec de nombreuses personnes autour de nous. Lorsque j’ai voulu revenir sur cet épisode, elle me dit : — Il ne s’est rien passé, je veux oublier.— Je ne t’ai tout de même pas violée.— Justement, c’est pire. Je me suis laissé faire. Je ne suis pas lesbienne. Laisse-moi oublier. J’ai eu tellement honte lorsque j’ai retrouvé mon copain. Il m’a fallu attendre quelques mois pour qu’une femme vienne caresser la moindre parcelle de ma peau. C’était terriblement jouissif lorsqu’elle descendait et remontait à coups de baisers frais, allant de mes siens à ma vulve, de ma nuque à mes fesses. J’étais parcourue de frissons délicieux. Avec l’accord d’Alain, j’avais dans mon lit une fée, au nom de fée puisqu’il s’agissait de Morgane, qui savait cueillir au fond de moi des jouissances nouvelles en me surprenant à chaque fois. Sa longue ...
... chevelure balayait mon corps et formait un voile qui m’empêchait de voir ses intensions lorsqu’elle s’aventurait entre mes jambes. J’avais rencontré Morgane à la piscine (textile faute de mieux). Pour gagner du temps nous partagions la même cabine pour nous changer et très rapidement nous avons ressenti l’une pour l’autre un attrait très vif. Nous avons commencé par regarder la nudité de nos corps, la manière que nous avions de nous déshabiller, d’enfiler nos maillots. Elle s’était étonnée que mon corps soit intégralement bronzé, sans aucune trace de maillot ; je lui dis alors que je pratiquais le naturisme (chose dont je parlais très rarement, ne voulant pas être confrontée à l’incompréhension des gens). Elle a seulement dit : « Ah bon » Un jour, en rentrant en voiture, nous avons trouvé un endroit discret et nous nous sommes masturbées l’une en face de l’autre. Nous étions à la fois un peu honteuses comme deux gamines ayant fait une grosse bêtise et terriblement désireuses de renouveler l’expérience. Nous refîmes cela chez elle ou chez moi, jusqu’au jour où je lui ai dit : — Morgane, j’ai envie de toi.— Moi aussi, Anaïs, j’ai envie que ma main se place où est la tienne.— J’ai envie de bien plus. J’ai envie de faire l’amour avec toi, Morgane. Ce n’est que plus tard qu’elle m’avoua être lesbienne, même si elle n’ignorait rien des amours hétérosexuelles, ayant eu plusieurs copains. — Je préfère avoir des contacts avec des filles qu’avec des hommes. Mais cela ne veut pas dire que ...