Souvenirs de vacances (2)
Datte: 11/01/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... ma bite, elle continue sa branlette mémorable. De son autre main, elle se caresse à travers son short. Je ramène mes bras haut dessus de ma tête, afin de me tenir aux barreaux du lit. Je ferme les yeux tellement cet instant est torride. Je suis totalement nu allongé devant ma sœur qui me masturbe, alors que rien ne semble pouvoir l’arrêter. Je geins de bien-être, elle pose alors sa main sur ma bouche tout en continuant à me branler avec appétit. Elle aime faire ça, et elle sait y faire. Je ne tiens plus tant sa main imprime le rythme idéal, ni trop rapide, ni trop lent. Je me souviens aussi parfaitement de la pression de ses doigts autour de ma verge. Elle chevauche ma jambe gauche tout en achevant d’abaisser mon short et mon caleçon, et frotte à présent son sexe sur ma cuisse. A cet instant, je ne peux même pas regretter qu’elle ne soit pas nue, Jo’ me sidère carrément par son engouement. C’est d’ailleurs sur ce chevauchement de sa part que je sens cette douceur violente et inarrêtable qui monte de mes couilles. Elle aussi a compris et ralenti son mouvement. Elle stoppe même et serre mon sexe à sa base. ...
... Je relève la tête pour la regarder, elle a les yeux fixés sur ma queue qui se tend à chacun des jets de sperme s’étalant sur mon ventre et sur mon torse. Comment décrire cette sensation? Impossible, si ce n’est de vous redire ’’DOUCEUR VIOLENTE’’. Ma sœur s’éclipse dans la salle de bain presque immédiatement, alors que je suis incapable de dire quoi que ce soit. J’entends l’eau de la douche qui s’écoule. Elle y reste longtemps ! Je reprends mes esprits et réalise peu à peu ce qu’il vient de se passer entre nous. Je ne ressens pas d’embarras, mais je redoute que ça ne soit pas la même chose pour Johanna, qui met un temps infini à sortir de cette douche. L’eau s’est arrêtée de couler maintenant, je feins de m’être endormi ne sachant pas à quoi m’attendre quand elle sortira. J’espère qu’elle me parlera la première, mais quand elle sort enfin de la salle de bain, elle se recouche sans un mot en me tournant le dos. Léger malaise, mais je ne peux rien y faire dans l’immédiat. Demain est un autre jour ! Je m’endors comme ça, lumière allumée, près de ma sœur, ma semence asséchée sur l’abdomen… *=prénoms remplacés