1. Plaisir bisexuel


    Datte: 11/01/2021, Catégories: fhh, hbi, hplusag, jeunes, copains, Collègues / Travail campagne, Oral 69, pénétratio, hsodo,

    ... offertes et cambrées que je viens de préparer longuement avec ma langue, ma salive et quelques noisettes de lubrifiants. J’ai tant attendu cet instant que j’aimerais l’investir d’un profond coup de reins. Pourtant, je n’en fais rien. Je ne veux surtout pas lui faire mal et progresse donc lentement dans son fondement. Denis accompagne mon avancée de gémissements gourmands. — Hmmm, t’es large… C’est bon. Effectivement, mon sexe paraît énorme par rapport à ses fesses fines. Mais cela ne m’empêche nullement de poursuivre ma progression jusqu’à ce que mon pubis se colle à ses fesses. À partir de là, mon va-et-vient ne cessera plus de s’accélérer. Même lorsque Denis se couche sur le dos pour que je puisse le voir se masturber, je garde un rythme rapide. Il veut que je le baise vite et fort, il crie ses encouragements entre deux râles de jouissance. Moi-même, j’abandonne toute retenue. Peu importe que nous commencions à gueuler et que le lit tape sourdement contre le mur. Peu importe la présence proche de Mélanie. Tout ce qui compte, à ce moment-là, c’est que nous prenions un pied gigantesque. Mon ventre claque contre sa peau. Denis a passé ses jambes derrière mon dos et basculé le bassin en avant pour s’offrir, ouvert et impudique. Mon ventre claque contre sa peau. Je ne suis plus qu’une bite qui le pilonne. Mon ventre claque contre sa peau. J’essaye d’accompagner au mieux sa montée vers l’orgasme. Mon ventre s’immobilise contre ses fesses et nos corps se tendent de concert dans ...
    ... la jouissance. J’inonde par saccades le réservoir de la capote. Denis éjacule une quantité incroyable de sperme qui vient zébrer son abdomen. Petites flaques blanches sur lesquelles je m’écroule pour partager un long baiser avec lui. * * * * Camille ne peut pas venir cet après-midi. Nous en profitons pour peaufiner notre bronzage, tous trois allongés, nus, en rang d’oignons sur la pelouse. Personne ne risque de nous voir, mais je suis quand même un peu gêné : j’ai une semi-érection que je n’arrive pas à réprimer. Denis, habitué au naturisme, n’a pas ce problème. Quant à Mélanie, même si ses tétons pointent, elle a la chance de toutes les femmes : rien ne trahit trop visiblement son excitation. Depuis quelques minutes, la conversation entre Denis et Mélanie a pris une tournure franchement coquine. Ils se racontent leurs expériences mutuelles avec de nombreux détails et un manque total de pudeur. Denis explique comment il s’est rendu compte de son homosexualité : son attirance adolescente pour les autres garçons, ses fantasmes peuplés de corps masculin, sa première fois avec un mec rencontré sur le Minitel… — À cette époque, dit-il, je suis sorti avec une fille pour savoir ce que c’était. La pauvre ! J’ai dû être le pire coup de sa vie. Un vrai fiasco. Il faut dire que, chez les femmes, c’est la poitrine qui m’attire : j’ai passé un temps fou à caresser et embrasser ses seins. Autant dire que je l’ai chauffée à mort. Mais au moment de passer aux choses sérieuses : rien ! Je ...
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