La tour d'ivoire (3) - Histoires de Sexe

La tour d'ivoire (3)

J O, Emma . La pièce était éclairée de façon tamisée, une magnifique cheminée ou rougeoyait un feu occupait un pan de mur quasi entier . En face, un mur recouvert de rideau masquait un assortiment d’objet de contention les plus étranges (Emma en avait fait les frais lors du viol de son petit cul, Il l’avait couchée sur une table ou ses chevilles et ses poignets étaient attachés , la forçant à une humiliante position de levrette cambrée qui offrait une vue magistrale sur son intimité . L’instrument la forçait à une telle position que le plug n’avait pas eu grand mal à détendre son sphincter vierge et le bijou était venu se ficher en elle ) Au fond, une petite estrade plongée dans le noir d’où , elle se savait maintenant, Il aimait donner ses ordres . Elle avança en baissant la tête, il était de toute façon inconcevable qu’elle fasse autrement, elle ne méritait pas d’aller la tête haute , elle le sentait . Au fond d’elle elle savait que son corps était désirable car bien fait malgré sa petite taille et ses quelques rondeurs (elle avait d’ailleurs toujours trouvé sans mal des copains) , ses seins étaient plutôt gros, étonnamment fermes avec leurs tétons clairs et leurs mamelons bien dessinés et lisses comme un miroir . Ses fesses charnues, souples comme peuvent l’être celles d’une jeune fille juste majeure, attiraient l’œil et avaient déjà été recouvertes maintes fois de la semence de ses ex, attisés par la beauté de cette vue . Elle savait par contre qu’elle n’était pas ...

... belle de visage, loin d’être laide mais rien sur sa figure ne faisait se retourner les hommes . D’ailleurs ces derniers la prenaient souvent en levrette et elle supposait qu’ils étaient plus inspirés par ses courbes que par son minois . Elle ne méritait donc pas d’infliger son faciès à son Maitre . Elle traversa la pièce et vient se positionner devant l’estrade . IL ne parla pas de suite mais elle sentait qu’IL la regardait . Elle avait envie de lui crier qu’elle avait fait tout ce qu’il lui avait dit, qu’elle avait peur de garder des séquelles des pinces de tétons, ces derniers la brûlaient et elle les voyait tuméfiés et allongés bien plus qu’elle ne pensait cela faisable . Elle avait envie de crier qu’elle s’était faite prendre comme une catin dans cette chambre d’hôtel, qu’elle ne supportait plus ce plug qui menaçait de tomber et qu’elle devait garder en elle . Mais elle n’en fit rien car elle avait envie plus que TOUT cela, de LUI apporter son corps comme une offrande . IL parla enfin . "- tu as mal ? — oui maitre ..." repondit t’elle , et de suite elle regretta d’avoir répondu cela . Non elle n’avait pas eu mal, elle avait accepté d’avoir mal pour LUI , elle avait aimé avoir mal pour LUI . Il descendit de l’estrade doucement, vêtu seulement d’un pantalon en toile, comme la veille . Il se mit face à elle et s’empara doucement des pinces tétons . "- tes seins te font mal ? " demanda t’il d’un ton aimable mais ferme . Elle ne repondit pas . La brusque torsion des pinces lui ...