1. Des vacances bouillantes (3)


    Datte: 13/01/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    Après le dîner, chacun vaque à ses occupations. Je suis encore dans mes pensées, je me demande encore si ce qui s’est passé cet après-midi avec Louise est normal. Certes, c’est une belle demoiselle, elle est attirante, et parfois même sexy, mais elle reste ma cousine. Mon père et Karine discutent, s’embrassent. Ma belle-mère porte une robe courte, elle profite de l’air frais pour se détendre. De leur côté, mon oncle et ma tante regardent la télévision avec les propriétaires de la ferme. Il est pratiquement vingt-trois heures lorsque la plupart des protagonistes partent en direction des chambres. Je me demande encore ce que va me réserver Louise, après les allusions ironiques concernant mon apprentissage sexuel, si je peux me permettre de le dire ainsi. Lorsque je rentre dans la chambre, ma cousine semble totalement normale, pas d’attitude potentiellement sensuelle. Elle porte malgré tout, une nuisette plutôt sympathique, elle est noire avec des échancrures en dentelles sur le haut du dos. Je racle tout de même le fond de ma gorge pour signaler ma présence. Elle se retourne, me fait un sourire en coin de bouche puis me fait un signe du doigt pour la rejoindre à la fenêtre. J’y vois mon père qui bécote encore Karine sur le banc. Je suis plutôt content de le voir heureux et épanoui. Cela lui permet d’avoir un moral au beau fixe après son divorce avec ma mère. Le duo ne s’arrête pas à des bisous doux sur la bouche, puisque mon paternel caresse la poitrine de ma belle-mère à ...
    ... travers la robe. L’image est assez claire, un spot lumineux éclaire ce petit coin de jardin. Petit à petit, Rodolphe passe sa main sous la robe de madame, il lui touche la cuisse et certainement plus, mais le tissu nous empêche d’en voir plus. Karine se rapproche de l’oreille de ce dernier, puis les deux tourtereaux quittent le jardin. On les entend à peine monter les escaliers, on entend à peine le bruit de la porte. Ce soir, nous n’en verrons pas plus, mais je suis surpris par l’attitude de Louise. Serait-elle devenue un brin voyeuse ? Comme moi, la veille, lorsque j’ai surpris Catherine et ma belle-mère en train de partager un moment de plaisir. La question mérite d’être posée. Je rejoins le lit, plus ou moins déçu de ne pas avoir vu plus. Ma cousine semble ressentir la même chose. Elle me rejoint, me câline avec une douceur que je reconnais désormais bien. Nos corps sont proches, et comme d’habitude mon sexe commence à réagir suite à cette approche. Après un doux câlin, je prends pour une fois l’initiative de l’embrasser, elle ne me repousse pas bien au contraire. Nos langues s’emmêlent, jouent entre elles, puis lorsque nos bouches se séparent un filet de bave apparaît. Je continue mon activité, je lui fais des bisous dans le cou, puis lui enlève avec délicatesse les bretelles de la nuisette. Les seins de Louise en forme de poire apparaissent désormais sous mes yeux. Je ne peux m’empêcher de les gober et de mordiller les tétons de cette dernière. Avec un brin d’audace, je ...
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