LA FEMME DE MENAGE MÛRE AUX GROS SEINS
Datte: 13/01/2021,
Catégories:
Anal
Hardcore,
Mature,
LU SUR LE NETVu le capharnaüm, j'avais été obligé de prendre une femme de ménage. Petite annonce chez le boulanger d'en face. Et voila, le tour était joué ! J'étais encore en slip, les yeux dans le vague, cheveux hirsutes, à essayer d'émerger après une longue nuit passée à surfer sur Internet sur les sites de cul. J'adore me payer de petites branlettes en zyeutant des films pornos. Dans tous les cas de jolies filles ou alors d'adorables boudins. Je me masturbe pendant des heures en veillant toujours à ne pas aller trop loin. Je perds ensuite la notion du temps puis, surpris par le réveil matin, je finis par m'endormir la queue bien tendue, une bonne grosse bite bien joufflue remplie de bon jus épais prête pour grosse salope vicieuse. Toujours est-il que ce matin là j'étais dans le pâté. De grands coups de poings contre la porte me sortirent de ma torpeur. Sincèrement je pensais que c'était Pierre, qu'il était encore à sec, comme d'hab, qu'il venait encore me taxer des tunes. Du coup j'ai pas fait gaffe et je me suis retrouvé presque à oualpé devant une bonne femme toute grise. - Ouais, c'est pour quoi ? - Je viens pour l'annonce pour les ménages (avec un fort accent rocailleux du terroir) - Ouais... Entrez Du coup cette bonne femme toute grise, cheveux, visage et accoutrement, rentre dans mon domaine et moi, à cet instant précis, j'étais toujours en slibard. Mais, quand elle est passée devant moi, je suis tombé nez à nez avec ses roploplos, deux grosses outres bien tombantes. ...
... Pas de quoi fantasmer peut-être, mais moi les gros nichons ça m'a toujours fait délirer un max, et même quand ils sont lourds et tombants. Ainsi donc, alors que j'étais en train d'enfiler un tee-shirt, histoire d'avoir l'air un peu plus présentable, à nouveau les roploplos devant mes mirettes, je me suis mis à bander, malgré le quand dira-t-on de cette vilaine toute grise. Et, tandis que la bougresse était en train de me parler, j'avouerai que je ne pensais moi qu'à ses mamelles. Lourdes, tombantes, pendantes, certes, mais ma bite n'arrêtait plus de se redresser, fascinée par ces protubérances, c'en était obscène... J'étais toujours en slip et elle ne pouvait pas ne pas remarquer mon état second. Poliment, c'est pas mon habitude, je l'ai priée de s'asseoir et moi, face à elle, je me suis avachi dans un fauteuil profond car profondément défoncé et j'ai négligemment tiré sur moi un tout petit coussin, l'air de rien, l'air de tout. Le cocasse de la situation me faisait bander comme un ours. Plus à l'aise car moins exposé à son regard, j'ai détaillé mon interlocutrice. La cinquantaine bien tassée, un visage sans grâce, un regard sans vie et cet abominable accent du terroir. Certes, tout ceci n'avait rien de bien alléchant, mais aussi ces énormes tétasses qui, selon mes calculs, devaient dégouliner sur son nombril. Putain, cela faisait bien longtemps qu'une femme ne m'avait pas fait un effet aussi radical. Soudain, elle arrêta de détailler son curriculum. Un grand silence remplit ...