1. Les nièces jumelles : saison 3 (2)


    Datte: 14/01/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... dard, elle le fera d’elle-même avec dévotion. Bon sang, je tuerais pour lui enfoncer ma queue dans la bouche et éjaculer dans sa gorge. Non loin, Clarisse, une fille d’apparence si sage, est en train de monter son petit-ami en lui tournant le dos. Elle s’expose fièrement devant tout le monde. Comme si ce n’était pas assez, sa chatte est vide, c’est son cul qu’elle empale sur ce mandrin de chair, et vu comment son minou dégouline de cyprine, elle semble beaucoup apprécier ! Bonté divine, la petite Clarisse. Je ne sais pas ce que je donnerais moi aussi pour pouvoir l’enculer, ma femme ne m’a jamais laissé faire ça. Mais maintenant que j’y songe, suis-je bête ou quoi ? Si j’ai envie d’enculer une fille, je n’ai qu’à enculer Lucy. Vu comment son trou de balle est dilaté, ce n’est surement pas elle qui va s’en plaindre. Je sors de son vagin et m’introduit subitement dans sa porte de derrière. Elle pousse un hurlement de surprise, et moi un râle de bonheur. Ça y est, mon plus grand fantasme, je suis dans le cul d’une fille, celui d’une de mes étudiantes, en plus. Je la ramone fort, j’ai envie de lui défoncer l’anus. C’est une salope, une pute, il n’y a aucune raison que je sois doux avec elle. De toute façon, elle aime ça, cela se voit. Jésus Marie Joseph, c’est incroyablement bon, mais où étaient les filles comme ça quand j’avais son âge ? Qu’est-ce que j’aurais voulu en ramoner des culs comme le sien. Aaaah, je suis jaloux, jaloux de leur jeunesse. Ce qui est en train de ...
    ... m’arriver n’arrivera sans doute plus jamais, quand eux pourront continuer à explorer les plaisirs de leur sexualité de façons toujours plus débridées. — Aaaah ! Oui ! Bourrez-moi bien le fion, professeur Newton ! crie-Lucy. — Sale petite chienne ! fais-je en lui donnant une fessée. — Oui ! Je suis une salope qui aime la bite ! Prenez-moi comme une chienne ! Je n’aurais jamais cru voir ça de ma carrière. Je croyais que ce genre de trainée n’existait que dans les grandes villes, pas dans une petite école d’un coin paumé comme le nôtre. Je ne pensais pas dire ça un jour, mais je suis heureux de travailler ici pour avoir pu la rencontrer. Je me penche sur elle et lui agrippe à nouveau les seins. Ils sont gros et doux au toucher. Comment une gamine peut-elle être aussi bandante ?! Je lui embrasse l’épaule en humant le parfum de son corps, elle sent bon. Je lui partage mes grognements de vieux mâle en rut au creux de l’oreille tout en la pilonnant avec ma longue queue. Je suis un pervers, j’ai accumulé tant de frustration à force de voir toutes ces gamines en chaleur passer devant mon nez que maintenant que j’ai enfin l’occasion de me soulager, elle va prendre pour les autres ; pour toutes les autres. Raaah, des pensées salaces que j’ai toujours cherché à enfuir remontent à la surface. J’ai envie de les baiser, de toutes les baiser. J’ai envie de défoncer le petit cul de Clarisse par devant, de me faire chevaucher la bite par Christine, de voir les seins de Caroline se balancer dans tous ...
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