1. Les nièces jumelles : saison 3 (2)


    Datte: 14/01/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... faut dire aussi qu’elle ne cesse de jouer les allumeuses, ce n’est pas étonnant qu’il y en a après ça qui ont les hormones qui les travaillent. Bon, certes, je dois moi-même reconnaître que cette Lucy Trojan est vrai joli brin de fille ; elle a de quoi me faire regretter d’être vieux. Je peux comprendre qu’elle fasse tourner aussi bien la tête des élèves que des professeurs, surtout quand on sait qu’elle a une sœur jumelle. Ce ne sont pas les seules jolies filles de l’école. C’est un des rares bons côtés du métier : on a la chance de voir grandir des jeunes femmes très belles et très attirantes. C’en est parfois frustrant. Elles arrivent la première fois dans votre classe pure et innocente, puis elles grandissent, deviennent adultes, et quittent votre école déjà dépucelées. Parfois, je ne sais pas ce que je donnerais pour avoir la chance d’être leur initiateur... Quoi ? Oui je suis un vieux cochon ! Et alors ?! Quand on est marié à une vieille peau comme la mienne depuis autant d’années, c’est difficile de se contenir devant ces jouvencelles qui ont l’âge et la volonté d’explorer leur sexualité. Pourquoi n’y aurais-je pas droit ?! Je me ferais peut-être virer, mais ça en vaudrait la peine ! Bah, peu importe, je délire encore. Il se fait tard et je suis toujours là dans ma classe à corriger des devoirs comme un con. Je sais, j’aurais pu faire ça de chez moi, mais je n’ai pas envie de rentrer. Enfin, la vérité, c’est que je n’ai surtout pas envie de retrouver ma femme ! Je ne ...
    ... vais malheureusement pas pouvoir y échapper encore longtemps, c’était la dernière copie. Quelle heure est-il ? Je dois être le dernier dans les locaux, tout devrait déjà être fermé, quoiqu’avec ce jeune proviseur distrait, on n’est jamais sûr de rien ; de toute façon, j’ai mes clés. Je me dirige vers la porte d’entrée. Tiens, un étudiant ? À cette heure-ci ?! Il tire en vain sur la poignée pour essayer de sortir. Il remarque ma présence et se tourne vers moi : — Professeur Newman, c’est fermé ! Vous pourriez m’aider ? me demande-t-il tout paniqué. Évidemment que c’est fermé ! Tu t’attendais à quoi, imbécile ?! Il est dix-sept heures passées. — Qu’est-ce que tu fais là, mon garçon ? lui dis-je d’un ton irrité. Tu devrais déjà être chez toi. — Je... je suis désolé, bégaye-t-il. J’y vais tout de suite. Vous pourriez m’ouvrir s’il vous plait ? Incroyable, une telle stupidité. Je viens au secours de ce pauvre bougre et lui déverrouille la porte. C’est limite s’il ne s’enfuit pas en courant. Je m’apprête à refermer derrière moi et à m’en aller, quand j’ai un éclair de lucidité : mais d’où venait-il ce garnement ? C’est un dernière année, sans doute de leur salle commune. Était-il seul ? Il n’était surement pas là pour étudier en tout cas, vu les résultats de son devoir. Il me faut aller vérifier qu’il n’y a personne d’autre, je ne voudrais pas enfermer des élèves ici toute la nuit. Je me dirige vers les sous-sols. Étrange, il y a du bruit, beaucoup de bruit. Certes, ils ont le droit ...
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