1. Passions


    Datte: 29/06/2017, Catégories: fhh, couleurs, couplus, cocus, vacances, boitenuit, Oral préservati, init, couple+h,

    ... à l’oreille :— Voilà, tu commences à prendre le coup, laisse la musique rentrer dans ton corps.Parfois, elle sentait sa poitrine se presser contre le torse de son cavalier, et elle ne pouvait empêcher son corps de réagir à ce contact. Amandine sentit ses tétons se durcir doucement mais sûrement. Les frottements du petit haut sur les pointes ainsi que les contacts répétés achevèrent de les rendre tendus au maximum. Elle songea un instant que son cavalier devait s’en rendre compte, cette idée lui fit monter le rouge aux joues. De temps en temps, la main d’Antoine glissait légèrement sur sa chute de reins, à la limite de ses fesses. Elle n’eut jamais le temps de chasser l’intruse tant cela était fugace. Amandine trouva que le jeune homme dansait divinement bien, nettement mieux qu’elle, il corrigeait presque instantanément tous ses faux pas.Une seconde danse tout aussi rapide démarra, la transition habile ne permettait pas de savoir réellement quand l’une commençait et l’autre se terminait, Amandine ne put donc pas s’esquiver. La danse était plus lente, mais le pas était similaire, à ceci près que les corps étaient nettement plus rapprochés. La jeune femme était tout contre le beau cavalier, ses seins plaqués contre lui. Un coup d’œil sur les autres danseurs la rassura, c’était apparemment normal.Antoine restait très correct, il faisait virevolter sa partenaire au rythme de la musique. Il maintenait Amandine fermement contre lui à l’aide de sa main droite. La seconde main ...
    ... serrait celle de la jeune femme à hauteur d’épaules. Amandine était de plus en plus embarrassée par la situation, Elle sentit fréquemment la main d’Antoine s’égarer sur le haut de ses fesses et reprendre sa place très rapidement. La jambe de son cavalier était bien placée entre les siennes, elle sentait son bassin onduler en cadence contre son ventre. Ses pectoraux frôlaient ses seins et ces derniers devenaient de plus en plus sensibles. Son corps réagissait étrangement à ces contacts. Il émanait de son cavalier un magnétisme indéniable ; elle sentit la sueur dégouliner entre ses seins. Amandine avait dansé avec de nombreux cavaliers depuis qu’elle était avec Cédric, mais pour la plupart c’étaient des amis, il n’y avait aucune ambigüité même s’il y avait parfois des effleurements. La situation était totalement différente ce soir, car cet homme, elle ne le connaissait pas, et les évènements de la journée tendaient à penser qu’il avait une attirance pour elle. Un coup d’œil vers Cédric lui indiqua qu’il était tranquillement installé sur son siège en regardant les danseurs.Le salaud, il jubile ! Une main s’attarda un peu plus longuement sur le haut de ses fesses. Elle sursauta, ce qui eut pour effet de la coller encore plus à Antoine. Tout son corps était écrasé contre lui, elle pouvait sentir son odeur enivrante lui embrouiller les sens. Amandine avait beau vouloir résister à la chaleur qui montait en elle, rien n’y faisait. Ses seins se durcirent un peu plus, si cela était possible, ...
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