1. Passions


    Datte: 29/06/2017, Catégories: fhh, couleurs, couplus, cocus, vacances, boitenuit, Oral préservati, init, couple+h,

    ... complètement ; d’où elle était placée, elle voyait Antoine qui terminait son diner. Ce dernier ne la lâchait pas du regard, elle sentait ses yeux se poser sur son corps, elle se sentait nue sous son regard fou de désir. Elle feignit de l’ignorer, elle tenta de se concentrer sur sa discussion avec Cédric, mais c’était difficile. Elle remua sur sa chaise, elle était nerveuse, sa raison lui disait d’ignorer le jeune homme, mais son corps se tendait vers ses regards. La culpabilité alla de pair avec l’excitation, plus son corps se réchauffait aux braises du désir, plus elle se sentait mal vis-à-vis de Cédric. Elle était perdue dans ses réflexions lorsque la voix de Cédric se fit entendre. — Il te regarde ?— Oui— Et il te trouve désirable. Ce n’était pas vraiment une question, plus une affirmation. — Oui je pense, mais ça me gêne !— Pourquoi ? Tu es désirable.— Oui, mais bon…— Ce qui te gêne, c’est qu’il te trouble plus que tu ne le voudrais. Tu te sens gênée vis-à-vis de moi.— Non, n’importe quoi !— Lapin…— Quoi ?— Rien, c’est pas grave…— Quoiiii ?— Écoute, il est beau mec, et il te dévore des yeux depuis que tu es entrée dans cette pièce ; moi, si une belle gonzesse me faisait de l’œil comme ça, je pense que je serais aussi assez ému.— Oui mais bon, tu es là et il sait forcément que je suis avec toi et donc qu’il ne se passera rien.— Oui, sûrement, mais je ne vois pas pourquoi le fait que tu sois mariée avec moi l’empêcherait d’être attiré par toi. Ça ne se contrôle pas le ...
    ... désir, il vient, il part.— Oui mais moi je suis avec toi, je ne devrais pas…— … ressentir du trouble pour lui ? Pourquoi ?— Parce que je t’aime. Et il n’y a que toi.— Oui tu m’aimes je le sais, et je t’aime aussi. Nous nous aimons depuis longtemps. Mon âme s’est attachée à la tienne. Je suis incapable de vivre sans toi. Par contre, je comprends le désir, je comprends l’envie. Ne me fais pas l’affront de penser que je n’ai jamais regardé une autre femme que toi. Certaines femmes sont belles et désirables, et certaines, je pense, ont eu de l’attirance pour moi : où est le mal ?— Oui mais tu sais, avec tous tes fantasmes, la façon dont on en a parlé… Tu sais, je me fais peut être des idées…— Tu ne cracherais pas le morceau, hein mon cœur. Tu as envie de lui ?— Je sais pas, j’en sais rien. Cédric n’insista pas. Il comprenait la réaction d’Amandine, elle lui en avait révélé beaucoup plus qu’il n’avait songé. Ils finirent leur repas en silence, Amandine était dans ses réflexions. Elle ne pouvait pas s’empêcher instinctivement de regarder Antoine, c’était toujours de façon très discrète, mais assez fréquent. Cédric était conscient que la conversation qu’il venait d’avoir avait bouleversé son épouse, elle attendait des reproches, elle avait reçu de la compréhension. Il décida de rompre la glace : — Bon, on va danser ?— Quoi, tu veux danser, toi ?— Ben oui, pourquoi ? Ça me plairait d’essayer cette danse collé-serré.— Bon, je te préviens, tu restes pas collé sur ta chaise, tu restes avec ...
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